Arrières grands-parents paternels Mariage1875Lask Pologne Mosek Jakub Goldsztajn/Golda Jaskula. Arrière-arrière grand-père Hénoch Lebowicz 1817/1878, marié 1839Faygi Milewski1819/1900 fils Icyk Ber Lejbowicz 1849/1904 marié Gitla Cymber fille Jochwet Lejbowicz 14/8/1885 Lodz/1890Samuel GOLDSTEIN fils Mon père:Isaac/IsakJacques /JackGoldstein14/07/1906Lodz Grand-père maternel Zelman Malakovsky?/Menakovski 7/09/1883 Volkoviez?.Grand-mère Bejla SCHWARTZ1886Wlodawa Lituanie
11 mai, 2008
06 mai, 2008
MESSAGE NEGATIONNISTE reçu aujourd'hui
|
Je suis tombé, par hasard, sur votre article ci-dessous :
http://www.juif.org/go-blogs-7924.php
sur lequel vous affirmez, je vous cite :
"7 Personnes de ma famille ont été gazées ensemble".
J'en suis d'autant plus désolé pour vous que toute ma famille maternelle, fut assassinée par les bolcheviques, à l'exception de ma mère, capturée par les nazis, et ensuite internée dans plusieurs camps de concentration, ce qui lui sauva la vie !
Quelles preuves irréfutables avez-vous que ces personnes furent "gazées" ?
Savez-vous que les massacres des officiers Polonais de Katyn, officiellement attribués par le tribunal de Nuremberg aux nazis, furent en réalité l'oeuvre des bolcheviques de Staline ?
Savez-vous aussi que plus aucun historien ne croit à cette fable ?
Mais savez-vous enfin, que selon les Lois de Nuremberg, il est interdit de contester cette décision qui fut prise par les vainqueurs ?
En vous remerciant par avance pour votre réponse.
Bien à vous,
David Yankelowitz
Pas beau de rapporter
J'ai retiré l'article incriminé |
Voici l'adresse de l'article original, sur swietapolska.com :
http://www.swietapolska.com/news/swpolska2550.html
27 avril, 2008
AU SUJET DU NOM DE FAMILLE ERRONÉ: MENAKOVSKI

On voit la signature en bas à gauche
"On m'a proposé sur un site de faire des recherches sur le nom de famille erroné:MENAKOVSKI
Mais je n'ai trouvé que: Malakovsky, ce qui est plus logique
Car quand je lis les documents
Au sujet des signatures
En 1910: mon grand-père ne savait pas signer
En 1914, il signe
Ou il a appris à signer
Ou il signe, dans la langue de son pays d'origine: le russe
23 avril, 2008
LA FAMILLE GOLDSTEIN SE RETROUVE
J’ai retiré les noms de lieux et les numéros de téléphone
Voici une série de messages que j'ai reçus qui me réconfortent
Je n'ai pas travaillé depuis si longtemps pour rien
Madame,
Je vous écris car je suis l’épouse de Serge Goldstein, fils de Joseph Goldstein, le plus jeune frère de votre père.
La semaine dernière j'étais avec mon mari chez mes beaux-parents près de Nice et j'ai parlé de votre blog, ils sont tous les deux d'accord pour que vous les contactiez.
Ma belle-mère a un ordinateur mais pas Internet, donc mon fils doit lui copier sur CD votre blog et le lui envoyer la semaine prochaine.
Vous pouvez les appeler, voici leur numéro :.....
Esther et Joseph Goldstein.
Quant à mon mari et moi, nous habitons ….……….
.Votre blog est très intéressant, bravo à vous.
Avec mon amitié
Chantal Goldstein-Lavina
Waouhhhh !
Que d’émotions en ce lundi après la "traversée du désert"...
J'ai passé quasiment toute la journée au tel avec toute la famille Joseph, Esther, parents et enfants (cousins, Serge, Samuel et Rose)
Vraiment ému, profondément touché...
2 d'entre eux habitent Paris, Rose et Samuel. Nous allons nous voir très vite
Merci et bravo à toi, tu es l’ange missionnée pour toutes ces belles retrouvailles
Je t'embrasse fort
Alain Goldstein
Un grand merci
Bonjour,
Nous ne nous connaissons pas, je suis la fille de Joseph, nous sommes donc cousines germaines, et je voulais vous remercier pour le travail que vous avez fait.
Cela m'a permis de retrouver mon cousin Alain.
J'ai été très émue, et très touchée de ces retrouvailles.
Encore un grand merci
Bien affectueusement
Rose
Bonjour
Je suis Patrick Goldstein, Le frère d'Alain et Philippe:
Donc ton cousin.
Je voudrais te remercier pour toutes ces recherches; C'est vraiment très émouvant. J'ai eu Alain hier soir? IL m'a raconté pour Notre Oncle c'est génial. Je vais aussi lui téléphoner.
Quelssss Souvenirssss!!!!!
C'est super Internet...bien sur, la preuve EST faite;
Je crois aussi que se VOIR TOUS (Oncle, cousins, cousines): serait une bonne chose.
Encore merci pour tout. A bientôt.
Patrick
21 avril, 2008
J'ai retrouvé mon dernier oncle Joseph Goldstein

Depuis longtemps, je recherchais le plus jeune frère de mon père, Je savais beaucoup de chose sur lui, je savais qu'il s'appelait Joseph, qu'il était né à Paris, en 1929
Il est le 14è enfant .
Mon cousin Alain m'avait dit qu'il habitait Nice ou ses environ, j'ai cherché, pas trouvé..
Et voilà..l'épouse de son fils a lu mon blog..
Je raconterai la suite très bientôt
Joseph est à gauche sur la photo prise sur le pont, à côté de la rue des Deux-Ponts, où ils habitaient.
Cette photo a été prise pendant la guerre, mes oncles portent l'étoile jaune
08 avril, 2008
Mariage Menakovski / Schwartz
Zelman Menakovski/Malakovski
Et
Beila Schwartz
Cliquez sur les photos pour les agrandir
Mes grands-parents à Paris dans les années 50

Zelman (Georges) Menakovski ,
Et
Beila (Berthe) Schwartz
Le 27 aout 1914
Mairie du XIe de Paris
Zelman(Georges), ébéniste né à WOLKOVYSK,OU VILKAVISKIS,le 7 septembre 1883
Domicilié:26 passage Charles Dallery,Paris
Fils de Moïse,décédé
Et
Etka, sa veuve, marchande de poissons (Décédée)
Domiciliée à Slonim (Russie)
Et
Beila (Berthe) Schwartz, couturière née à WLODOWA (Lituanie) en 1886
Domiciliée 26 passage Charles Dallery,Paris
Fille de Abraham ,quincailler
Domicilié:5 passage Basfroi,Paris
Et son épouse: Rejza VENISKI,ou Viniski? ménagère
Domiciliée à Iakoutz (Sibérie)
Les époux ont déclaré reconnaître en vue de légitimation:
Maurice, né à Paris XIIè, le 16 novembre 1908
Ida, née à Paris XIIè,le 15 novembre 1910
Et inscrits comme fils et fille des contractants.
Lecture faite, l'époux a signé, l'épouse ne sachant pas
Cela donne:
Mairie du XIe
27 août 1914 : mariage de
Zelman Menakovski ou Malakovski : né à ? : le 7 septembre 1883
ébéniste, Brocanteur
Fils de
Moïse Malakovski (décédé)
Nationalité : Russe
Et de
Etka : veuve
Marchande de poissons
Domiciliée à Slonim (Russie)
Et de
Berthe Schwartz : née à Wlodowa (Russie) en 1886
Couturière
Fille de
Abraham Schwartz : né en 1864 à Wlodowa
Quincaillier
Et de
Raïssa Viniski : née en 1872 à Wlodowa
Ménagère
Domiciliée à Iakoutsk (Sibérie)
Malakovski : ébéniste : né en 1867« : Rosa : Marchande : née en 1877
« : Frida : couturière : née en 1880


La Loi du 26 juin 1889, la défaite de 1871, la perte de l'Alsace-Lorraine, l'esprit de revanche à
l'encontre de l'Allemagne conduisent à renforcer l'évolution amorcée en 1851 afin d'augmenter le nombre de Français et donc des soldats ; d'autant plus qu'un vif ressentiment se manifeste à l'encontre des jeunes étrangers qui échappent au service militaire (d'une durée de trois ans.)
La loi de 1889 dispose donc que, seront Français les jeunes étrangers nés en France et qui à l'époque de leur majorité sont domiciliés en France à moins d'avoir décliné la nationalité française dans l'année précédent la majorité.
En 1851, les conditions d'acquisition de la nationalité française sont assouplies afin d'augmenter le nombre de Français : est alors institué le double droit du sol (double jus soli) : est français à la naissance tout individu né en France d'un parent qui y est lui même né.
SOURCE
Son nom de jeune fille était Schwartz
Il s'est marié avec Suzanne Naudet le 6 septembre 1930 à la mairie du 10è
Ils habitaient 21 rue des Panoyaux

06 avril, 2008
MARIAGE GOLDSTEIN ET MENAKOVSKI
Nous apprend:
Ils se sont mariés le 19 octobre 1929 à la mairie du 4è arrondissement de Paris
Mon père: Isaac Goldstein, tailleur, né à Lodz (Pologne), ainsi qu'il en résulte d'un acte de notoriété (pas d'acte de naissance)
Né le 14 juillet 1907 (22ans)
Domicilié 10-12 rue des Deux-Ponts, fils de Samuel Goldstein, tailleur et de Jochwet Leibovicz, son épouse, sans profession
Ma mère: Ida Menakovski, monteuse en lampes, née à Paris XIIè, le 15 novembre 1910 (18 ans), donc mineure à l'époque.
Domiciliée 21 rue des Panoyaux.
Fille de Zelman Menakovski et Berthe (Beila) Schwartz, marchands
Domiciliés 21 rue des Panoyaux,Paris
Les témoins:Félix Leibowiez, restaurateur à Paris , 16 rue François Miron (peut-être un frère de ma grand-mère?)
Srul Smilianski, ferblantier, 10 rue des Deux-Ponts (il était le beau-père de mon oncle Wolf, il a été déporté à Auschwitz,il habitait le même immeuble)
Smiliansky (Srul), né en 1877 à Tcherkosk (Russie), décédé le 30 septembre 1942 à Auschwitz (Pologne).
Mon grand-père savait signer, pas ma grand-mère
Cliquez sur les images pour les agrandir



Faire-part de mariage de mon père et de ma mère
Ainsi que de mon oncle Wolf avec Sonia Smiliansky gazée à Auschwitz le 5/8/1944
Et une nouvelle indication: Le prénom de ma grand-mère était Jochwet et non Héléna

31 mars, 2008
Deux de mes oncles sur les trois libérés des camps de concentration et 2 oncles dans la résistance

Voeux de Wolf et de sa 2è épouse Rachel pour le mariage de ma tante Anna Goldstein


3 de mes oncles étaient dans la résistance
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Deux de mes oncles sur les trois libérés des camps de concentration
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Traduction de la lettre reçue Musée National d'Auschwitz Birkenau à Oswiecim
En réponse à votre lettre du 4.05.2007, le Musée National d'Auschwitz Birkenau à Oswiecim vous informe qu'après une investigation poussée dans les documents en notre possession, il a été établi ce qui suit :
GOLDSTEIN Wolf - né le 19.12.1908 à Lodz a été déporté au KL Auschwitz le 3.08.1944 en provenance de Drancy. Dans le camp il a été désigné en tant que déporté n°B-3774. Il a été affecté au Blindganger Suchkommando - commando de démineurs.
À la date du 28.01.1945 il figure sur la liste du convoi de déportés transférés du KL Auschwitz au KL Dachau via le KL Gross-Rosen.
GOLDSTEIN Elieser - né le 7.08.1916. En ce qui le concerne nous possédons uniquement la liste du convoi du 28.10.1943 des personnes déportées de Drancy au KL Auschwitz par le convoi n° 61.
Nos sources :
- les listes des convois à destination de KL Auschwitz par numéro ;
- la liste du convoi de déportés transférés du KL Auschwitz au KL Dachau via le KL Gross-Rosen ;
- les listes des personnes déportées par les convois 61 et 77, de Drancy au KL Auschwitz.
Nous tenons à vous informer que les documents trouvés et conservés par le Musée constituent uniquement une partie des actes créés lors de l'existence du camp. Leur analyse ne permet d'établir le sort des déportés d'Auschwitz que dans une certaine mesure.
Dans la dernière période d'existence du camp, conformément aux ordres des autorités SS, la majorité des actes du camps ont été détruits (parmi lesquels beaucoup d'actes personnels permettant d'identifier les personnes détenues dans le camp) dans le but de dissimuler l'étendue du génocide et de rendre difficile de traduire en justice les coupables des crimes des membres de la SS.
Afin d'effectuer d'autres recherches, nous vous proposons de vous vous adresser également à l'Internationaler Suchdienst, Grosse Allee 5-9, D-34444 Bad Arolsen en Allemagne.
Nous restons à votre disposition afin d'apporter toutes les explications dont vous auriez besoin, ainsi que l'aide dans la mesure de nos compétences.
Conclusion?
12 février : Évacuation de Gross-Rosen.
21 mars, 2008
MA FAMILLE 'DANOISE'
Sur "Le Mur des NOMS"
Le nom d'Elieser a été rectifié au mois d'aout 2007, il est gravé: Elieser, car mal orthographié Eliezer
Je suis allée remettre le certificat de naissance d'Elieser que j'avais demandé au rabbinat de Copenhague
Certificat de naissance d'Elieser envoyé par le Rabbinat de Copenhague
Merci Silvia
CLIQUEZ SUR LES IMAGES POUR LES AGRANDIR

La famille Goldstein vivait dans cet immeuble (au 2è étage) à Copenhague

Je suis sûr que nous nous réunirons à un certain point. En fait, je me déplace à Paris en août, parce que mon mari a trouvé un travail là.
Désolée que je ne pourrais pas répondre à vos mails hier, j'étais vraiment occupée. Mais ici je suis :)
Merci de vos mail et des différentes informations. J'essayerai de rechercher des informations sur les autres enfants de mêmes parents qui sont nés au Danemark, quand je vais là bientôt. Pour maintenant moi peux te dire que Hermann (Hirsch) Goldstein est né le 9 février 1919 à Copenhague. Je ne sais pas pour sûr, mais je pense qu'il m'est mort le 12 décembre 1919 (devra essayer de le vérifier au Danemark) et cela il a été enterré chez Mojaisk Vestre Kirkegård (Mosaique Cemetery occidental, le « nouveau » cimetière juif à Copenhague).
De : Silvia ********************* À : Michelle.*************** Objet : le Goldstein a Danemark
16 mars, 2008
Photo d'habitants du 10-12 rue des Deux-Ponts, Paris 4è
Sur cette photo d'avant guerre, il y a ma tante: Anna Goldstein(dite Nénette) née le 21/3/1925 à Paris
C'est la 5è en haut à partir de la gauche, avec un haut blanc, avec un signe pour la reconnaitre.
Elle ressemble à mon père
Cliquez sur la photo pour l'agrandir
10 mars, 2008
LA FAMILLE ET L’ARMEE FRANÇAISE
En 1939/1940 a été mobilisé au régiment d’infanterie du 2/9/1939 au 1/11/1939 date de son renvoi dans ses foyers, en raison de ses charges de famille (5 enfants)
En septembre 1939 a été mobilisé dans la D.C.A à Douai, a été démobilisé au 406è D.C.A à AUCH (Gers)
Le 3/7/1944, a été incarcéré à Drancy , pour être déporté avec sa femme, ses 2 fils, sa sœur et 3 neveux et nièces, par le convoi N° 77, le 31/7/1944.
Arrivé à Auschwitz le 3/78/1944.Il est le seul survivant. Les autres membres de la famille ont été gazés le 5/8/1944
Il est resté à Auschwitz, tatouage n° : B-3774.Il était dans un commando de démineurs.
Le 28/1/1945, il était à Dachau : N° de détenu : 139261.
Le 21/2/1945, il était au commando de Mühldorf de Dachau (camp principal)
Transféré le 23/4/1945 au commando d’Ötztal du camp principal de Dachau.
A été libéré par l’armée américaine comme détenu du camp de concentration de Dachau.
Catégorie : « Sch »(Schutzhaft), « Jude » : JUIF
A retrouvé sa fille Marie, seul membre de sa famille, qui n’a pas été déporté
Mobilisé le 4/9/1939 au 37è régiment d’artillerie divisionnaire, puis passé au 98è régiment de la même arme, il a participé aux opérations dans le secteur d’Alsace et a été démobilisé le 10/8/1940
A été mobilisé en septembre 1939
A été arrêté le 23/10/1943, sur ordre du « Befehishaber der Sicherheitspolizei, a été incarcéré à Drancy, est parti à Auschwitz par le convoi n° 61 le 28/10/1943.
Le 24/12/1944 était incarcéré au commando d’Ohrdruf à Buchenwald : n° de détenu : 109735/103316.
Le 15/1/1945, a été transféré au camp principal de Buchenwald..
Catégorie : « Polit » (Politisch) « Jude » : Politique, Juif
On trouve sur une note du 3/12/1943 de la préfecture de police » Il semble cependant qu’il y aurait intérêt à faire toutes réserves sur ses sentiments à l’égard de notre pays)….Résiderait en zone libre.
Je sais qu’il était communiste, comme mon père, qu’il venait tous les ans avec son orchestre à la fête de l’Huma, où nous allions le voir
Il est revenu des camps de la mort
Il a passé des visites médicales en aout 1914, puis quelques semaines plus tard, mais a été déclaré inapte
08 mars, 2008
Généalogie famille maternelle
Arrière grand-père: Moïse Malakovski né à Wolkowysk ou Vilkaviskis (Lituanie)
Arrière grand-mère: Etka née à Wolkowysk/Vilkaviskis
Ils ont eu 4 enfants:1 fils et 3 filles
Ils ont émigré à Londres, sauf mon grand-père qui a choisi Paris
Mon grand-père: Zelman Menakovski: né le 7/9/1883 à Wolkowysk
Lask né en 1866
Rosa née en 1896
Frida née en 1899
Il s'est marié avec ma grand-mère: Beila (Berthe) Schwartz à Paris le 29/4/1914
Ils avaient déjà mon oncle et ma mère
Ma mère: Ida est née le 17/11/1910 à Paris
Son frère: Maurice: le 16/11/1908
Sa sieur: Raymonde: 10/8/1920
De l'autre côté:
Arrière -grand-père: Abraham Schwartz né en 1864 à Wlodowa (Russie)
Arrière grand-mère: Rejza Vinisky? née en 1872 à Wlodowa
Grand-mère: Beila (Berthe) Schwartz née en 1886 à Wlodowa
Elle est la mère de la mienne
Ma mère a eu 12 enfants, je suis la 11è
Généalogie famille paternelle
Arrière grand-père: Mosek Jacub Goldsztajn né à Lask (Pologne) vers 1857: Voir ICI
Before (c. 1900): | Łask | Łask | Piotrków | Russian Empire |
Arrière grand-mère: Golda Jaskula née à Lask en Pologne
Ils se sont mariés à Lask en 1875
Ils ont eu 2 fils et 4 filles
Ils sont partis à New-York dans les années 1920, je suppose, il semblerait que leur père soit venu avec, la mère étant décédée
Seul mon grand-père a choisi l'Europe
Grand-père: Szmul Goldsztajn est devenu Samuel Goldstein, né à Lódz le 15/11/1890
Grand-mère: Jochwet Lejbowicz? est devenue Héléna, Hélène Lejbowics est née le 14/8/1885 à Lódz en Pologne
Ils se sont mariés en 1906 à Lódz (Pologne)
Ils ont eu 14 enfants
Mon père est l'ainé
3 enfants sont nés à Lódz (Pologne)
Mon père: : Isaac(Jacques): 14/7/1906
Wolf: 24/12/1908
Gitla (Ita,Ida): 1/3/1910
6 sont nés à Copenhague(Danemark)
Tobias (Tobie): 21/3/1914
Kopel (Robert): 24/6/1915
Elieser (Léon,Lazare, Jimmy): 7/8/1916
Hanna- Léa (Lisa): 4/11/1917
Herman (Hirsch): 9/12/1919: mort et enterré à Copenhague le 12/12/1919,
Tauba (Thérèse): 17/4/1920: morte à Auschwitz: 5/8/1944
1 en Allemagne:
Feiga (Viola,Fanny): 12/6/1922
4 à Paris (France)
Anna(Nénette): 26/12/1923
Louise: 21/3/1925, morte enfant,de la coqueluche
Georges: 2/9/1927
Joseph: 14/3/1929
Mon père a eu 12 enfants, je suis la 11è
71 enfants et 11 maitres étaient déportés et exterminés à Auschwitz Birkenau.
Témoignages de la Shoah
Le 24 Juillet 1944, un mois avant la libération de Paris, la police allemande arrêtait les élèves de l'école Lucien de Hirsch.CENTRE UGIF
71 enfants et 11 maitres étaient déportés et exterminés à Auschwitz Birkenau.
Les enfants
Alzykowicz:Célestine - 12ans,
Algazi Huguette - 14 ans,
Algazy Victor - 16 ans,
Bacry André - 8 ans,
Bacri Claude - 13 ans,
3 COUSINS : enfants de ma tante Guitta Bender née Goldstein
Bender Dora - 8 ans,
Bender Jacques - 12 ans,
Bender Jean - 4 ans
Berkowicz Bernard - 12 ans,
Blumenkranc Lotti - 12 ans
Drzazga Nathan - 13 ans
Eskenazi Albert - 13 ans
Finkelstein Victor - 13 ans
Glicksman Albert - 12 ans
Gliot Adolphe - 9 ans
1 cousin : fils de mon oncle : Wolf Goldstein
Goldstein Bernard - 14 ans
Grinspan David 20 ans
Gruszka Marguerite - 16 ans
Hochberg Henri - 12 ans
Holz David - 13 ans
Jaffe Esther - 17 ans
Jaklimowitch Georges - 8 ans
Kalinsky Estelle - 14 ans
Kass Georges - 7 ans
Kawa Anna - 16 ans
Krajzelman Marcel - 15 ans
Krieger Georgette - 9 ans
Krieger Nina - 8 ans
Krieger Odette - 8 ans
Laks Isidore - 10 ans
Landsmann Fajga - 16 ans
Leibovici Gaston - 13 ans
Nadel Arnold - 12 ans
Pinto Esther - 15 ans
Plevinski Albert - 14 ans
Ratz Léopold - 12 ans
Roza Bernard - 20 ans
Rozmann Suzanne - 7 ans
Rozner Hélène - 17 ans
Schumann Charlotte - 13 ans
Sternchuss Nathan - 13 ans
Suissa David - 7 ans
Suissa Esther - 5 ans
Tabak Joseph - 14 ans
Tasiemka Adolphe - 15 ans Anna - 14 ans
Vainer Léon - 12 ans
Wiesel Justin - 11 ans
Les « encadrant »
Bernas Rosalie - 62 ans
Bloc Fernande - 53 ans
Bloch Paulette - 19 ans
Cahn Denise - 36 ans
Ma tante : Tante aussi des enfants de la famille sur cette liste
Goldstein Tauba - 24 ans
Mechinino Anna - 46 ans
Regenman Esther - 35 ans
Sidelski Marcelle - 39 ans
Zaks Sara - 41 ans
Zalmanski Marie - 39 ans
Zulberstein Syma - 40 ans
MON CAS PERSONNEL
Janine SILBERBERG
J'avais 18 ans.
Cave de la Mairie en attendant l'arrivée de cars. Ensuite, une nuit à la caserne de Saint-Étienne.
Le lendemain, départ dans un wagon ordinaire, encadrés de soldats allemands en armes. Arrivée dans un camp à Drancy : deux jours après, rassemblement dans la cour pour un départ inconnu avec très peu à manger. Sur un quai de gare de marchandises, un train de marchandises ; les gens seront entassés dans ces wagons avec une tinette pour leurs besoins et de la paille par terre. Le train fermé reste en gare dans la chaleur de fin mai et s'ébranle vers le soir ; toujours destination inconnue. A l'intérieur, règne la tristesse et la consternation. Que va-t-il nous arriver ?
Il y a une petite lucarne dans le haut du wagon et de temps en temps quelqu'un se fait hisser pour lire le nom des gares et nous comprenons que la direction est : " l'Est, c'est-à-dire l'Allemagne hitlérienne ".
2 jours et 2 nuits de transport. Wagon ouvert une fois dans une plaine allemande pour vider le seau qui déborde et qui sent très mauvais. On peut descendre sur le ballast, entourés de soldats en armes. Tout le monde remonte et la porte se referme sur les gens. Impossible de s'allonger pour dormir, on est trop nombreux. Il y a beaucoup de scènes de désespoir, les gens ont soif et peur. Quand le convoi s'arrête au troisième matin, le spectacle qu'offre le vasistas est horrible, mais nous n'avons pas le temps de réfléchir, la porte s'ouvre sur nous.
Vision d'apocalypse. Des hommes aux crânes rasés, en pyjama rayé sautent dans le wagon et nous poussent dehors ; n'oubliez pas la hauteur du wagon, il fallait sauter sur le quai, pas le temps de prendre le peu de bagages emportés de Drancy. Des cris, " Rauss, schnell " des S.S. avec des cannes nous poussent, des cris de gens pour rester ensemble. Des vieillards, dans mon wagon, déjà mourants, en sont sortis sans ménagements.
Une odeur de roussi nous prend à la gorge et puis encore, toujours des hurlements, un ordre :
les hommes d'un côté, les femmes d'un autre côté. Pas de temps pour s'embrasser ou se dire adieu, il faut faire vite, vite. Les colonnes se forment, on essaie de faire des signes à nos pères, frères ou maris.
Ma colonne de femmes passe devant un S.S. Il fait un tri, il choisit, mais qui ? pourquoi ? Nous voyons des jeunes mamans avec leur bébé, des vieillards, aussi d'autres femmes mis dans une file à gauche ; des jeunes filles dans une file à droite, à peu près 200 femmes sur le nombre. Tout de suite on nous dirige vers ce qui paraît être un camp.
C'est fini, nous sommes séparées de tous nos êtres chers. Nous essayons de questionner les hommes en rayé et la réponse est : " ils vont dans un camp de repos et vous dans un camp de travail ". A notre droite, une immense cheminée crache du feu et des flammes ! Je ne donnerai pas de détails, ni ne ferai apparaître mes sentiments. Froidement, voilà ce qui suit.
Un bâtiment qui a l'air d'un ensemble de douches. Par ordre alphabétique, nous passons devant des filles bizarres qui nous piquent l'avant-bras gauche à l'encre. C'est un numéro tatoué à jamais. On nous rase de partout. On nous fait déshabiller.
Entièrement nues, méconnaissables à cause de la tête rasée, nous sommes dirigées vers les douches, l'eau coule froide, on boit, on a soif, faim. Toute une journée, nous restons entassées dans cette salle à courant d'air. Des questions, sans réponse.
Vers le soir, apparaissent des femmes qui apportent des vêtements et les distribuent au hasard. Pas de sous-vêtements, une robe et quelque chose pour les pieds, chaussures trop petites ou trop grandes, où sabots de bois, souvent deux chaussures du même pied. Déguisées comme pour Pourim, nous sommes les nouvelles
déportées.
C'était Birkenau Auschwitz en Haute Silésie. Sur le fronton " Arbeit macht Frei ". Très vite, on apprit la vérité sur ce camp. Dans la baraque basse et sombre dans laquelle on nous a menées se trouvaient des châlits superposés à trois hauteurs ; il faisait nuit ; on entendait des bruits, des gémissements, et dans l'obscurité je grimpe avec ma sœur et mon amie sur un châlit du haut où se trouvait une paillasse.
(On n'avait plus rien. Essayez d'imaginer une personne qui vit dans un pays tant soit peu civilisé et qui se trouve démunie de tout).
Nous étions " Juif puant " " stink jude ". On nous répétait : ceci n'est pas un camp de repos mais un camp d'extermination.
A Auschwitz, on mourait beaucoup. On pouvait mourir de faim, de froid, de dysenterie. On pouvait mourir de coups de bâtions. On pouvait mourir à rester des journées entières nues et debout en rangées de cinq pour des appels. On pouvait mourir au travail. On pouvait mourir gazées après une sélection. Auschwitz devait faire 40 km².
Ceux qui ont essayé de s'évader étaient repris même huit jours après leur évasion grâce aux chiens-loups et à l'aide des Polonais de la région ; les SS étaient sûrs de retrouver ceux qui essayaient de s'évader. Il y avait également les marécages ; Et il ne faut pas oublier les numéros tatoués sur le bras, l'état squelettique au bout de quelques jours et les chiffons qui étaient les habits empêchait les déportés de passer inaperçus. Les évadés étaient pendus devant tout le camp réuni en appel.
Je suis partie le 30 octobre en transport après une sélection. Un pain pour quatre et carré de margarine. Par 100 dans un wagon.
Le deuxième camp s'appelle Bergen-Belsen. On nous parque dans de grandes tentes de cirque avec de la paille par terre. Pas de nourriture. La nuit, une tempête a emmené notre tente et on s'est trouvé dehors avec la couverture sur le dos. Le lendemain on nous a mis dans des baraques en bois.
Transport pour un camp de travail : usine d'aviation. Le voyage en février a duré si longtemps que nous avions tous les pieds gelés. Là nous sommes devenus des squelettes vivants et pleins de poux sur tout le corps et dans les vêtements. Beaucoup mouraient du typhus. On les amenait au cimetière dans un cercueil et on ramenait le cercueil vide pour les prochaines.
Transport à l'approche des Alliés : un voyage de quatre jours et quatre nuits sans manger. Beaucoup de mortes quand le train s'est arrêté.
C'était Theresienstadt à côté de Prague. On ne travaillait pas, on continuait à mourir. Libérées par l'Armée Rouge le 10 Mai 1945, cinq jours seulement après l'armistice.
4 juin : retour en France par la Croix-Rouge en avion de transport de troupes. Poids moyen : 35 Kg.
Je ne veux pas faire de sentiments. Mais je suis restée marquée pour la vie et, quand je ferme les yeux
38 ans après, je vous vois là-bas dans ces enfers que personne ne peut imaginer.
Nous savons comment sont morts nos parents. Nous savons aussi que grand nombre de nos bourreaux vivent en paix sans remords et impunis. Où est-elle la justice des hommes ?
Ne dites surtout pas que le peuple allemand ne savait pas ; car ils savaient tous, beaucoup de camps étaient
à proximité des villages et des villes. Les déportés squelettiques passaient en rangs serrés pour aller au travail, et les Allemands étaient dans les rues et rien ne les empêchait de vivre. Les civils allemands travaillaient dans les camps et les soldats qui nous gardaient rentraient en permission. Ne jamais oublier, car l'oubli tuerait une deuxième fois.
A-t-on le droit de pardonner ? Non ! Qui nous donnerait ce droit ?
Janine SILBERBERG Matricule A. 7102.
Voir aussi le témoignage de Claudette Wallerand
07 mars, 2008
Demande de renseignements sur mon grand-père paternel pour révision de naturalisation
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NATURALISATION GOLDSTEIN et https://picasaweb.google.com/111893286273938110008/NATURALISATIONGOLDSTEIN?authuser=0&feat=directlink |
Le 3 décembre 1943 , l'État français a voulu retirer la nationalité française à mon grand-père parce qu'il a été condamné à 15 jours de prison avec sursis et 15 francs d'amende pour violences à agent, car il a été arrêté pour violences contre un agent qui procédait à l'arrestation d'un israélite locataire dans son immeuble en 1936.
Ils lui ont laissé la nationalité française, car ses fils ont fait leur service militaire
Quant à mon père, il a été condamné en 1942, car il a pris le train sans billet, et d'après la date: 14/4/42, cela correspond à son retour de Mayenne, où il a mis 3 de mes sœurs dans une ferme
au cours de la guerre 39-40, il a été mobilisé du 2 septembre au 2 novembre, a été renvoyé dans ses foyers, en raison des ses charges de famille (5 enfants, à l'époque)
On apprend aussi qu'ils ont vécu aussi à leur arrivée à l'asile israélite 16 rue Lamarck (18è)
On apprend aussi que Gitla percevait une allocation pour son mari , qui, arrêté le 14/5/1941 et interné à Pithiviers, a été déporté en Pologne.
Tobias a épousé une non-juive, le 1/2/36 et a une fille: Arlette, le 29/5/36..la grossesse n'a pas duré longtemps
Kopel( Robert)a été fait prisonnier en Allemagne en 1940, il y était toujours en 1943....il s'est évadé, avec une vache!
Il a été décoré de la médaille de la Résistance
Elieser a aussi épousé une non-juive, il était en zone libre, mais a été déporté à qu'Auschwitz, dont il est revenu.
Il est dit que les autres enfants célibataires sont bien assimilés
On apprend aussi que son père s'appelait Jacob (en vérité: Mosek Jakub) et sa mère: Golda Jaskola, qui sont mes arrière-grands-parents paternels
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Ma tante Gitla BENDER
Ils ont eu 4 enfants
Mon oncle et 3 des enfants , dons mes cousins, sont morts en déportations.Mon père m'avait dit que 7 membres de ma famille étaient morts à Auschwitz.
Je fais les comptes macabres
Ma tante Tauba (sœur de mon père)
Ma tante Sonia (née Smiliansky) épouse de mon oncle Wolf (frère de mon père)
Et leurs 2 fils Bernard: 14 ans et Daniel: 5 ans
Mon oncle: Josek Chaïm Bender (époux de ma tante Gitla) (Ida)et 3 de leurs enfants:mes cousins
Dora, Jean et Jacques
Ils étaient avec le reste de la famille dans le convoi n°77
Est inscrit(e) sur le Mur des Noms en tant que Chaïm BENDER né(e) le 30/01/1901 à LOWICZ, déporté(e) par le convoi n° 04 au départ de Pithiviers le 25/06/1942.
De profession Repasseur.
Habitait au 10, rue des Deux Ponts dans le 4ème arrondissement à PARIS. (France)
Josek Chaim
Né le 30/01/1901 à Lowicz (Pologne)
Cette différence considérable s'explique par l'âge moyen, plus jeune d'environ 5 ans dans ce convoi que dans les deux précédents, et surtout sans doute par l'origine polonaise de plus des 9/10 des déportés, mieux aptes à résister aux effroyables conditions d'existence qui régnaient dans le camp d'Auschwitz, situé en Pologne, que, par exemple, les 435 Juifs français du convoi n° 3 parti seulement 3 jours plus tôt.
Courrier par lequel Dannecker informe Eichmann à Berlin que les 3 convois prévus (23,25,28 juin) pourront partir et que 3000 Juifs sont prêts à être mis en marche :
Dora BENDER né(e) le 29/07/1936 à PARIS14è Déporté(e) à Auschwitz par le convoi n° 77 au départ de Drancy le 31/07/1944: elle avait 8 ans
Les enfants ont été pris avec leurs cousins et leur tante Tauba Centre (UGIF)Secrétan dans le 19ème arrondissement à PARIS. (France)
+4 Goldstein(dont 1 Smiliansky)
En tout:
1 cousine
4 cousins
1 tante
1 oncle et 1 tante par alliance
Dans le document de 1943, il est demandé des documents à ma tante au sujet de sa nationalité française, car son mari a été déporté parce qu'étranger.
Il y a des renseignements sur son mari, qui s'est engagé volontairement, incorporé le 22/1/40, régiment des étrangers, il a combattu, démobilisé à Châteauroux.
Mais..il est noté comme deserteur le 28/6/40.....
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Actes de naissance en Pologne pour Naturalisation Française
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Naturalisation Goldsztajn/Goldstein |
Tous les membres de la famille nés en Pologne n'avaient pas d'actes de naissances
Il fallait faire des certificats pour devenir français et se marier
Je vois sur ces certificats que mes grands-parents se sont mariés civilement aussi en France, alors qu'ils l'étaient religieusement en Pologne.
Cette demande a été écrite pour les parents par Tobias (c'est sa signature)
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Avis du Prefet de Police le 24/12/1927 pour la naturalisation de la famille Goldstein
Par contre, le fait qu'ils ne s'assimilaient pas facilement avait l'air de poser problème...Pour des gens qui avaient vécu en Pologne, Danemark et Allemagne, c'est quand même difficile à s'adapter tout le temps, surtout qu'avec le Yiddisch, ils devaient bien se débrouiller, ils ne devaient pas faire d'effort pour apprendre la langue du pays à chaque fois.
Malgré cela, les renseignements étant bons, et surtout le fait d'avoir beaucoup d'enfants dont certains nés en France à du jouer pour eux.
De plus, mon père et ses 4 frères ont fait leur service militaire en France
Sans oublier, par la suite, qu'ils ont rempilé en 40!
Sur un document qui fait le lien entre l'accord pour l'admission à domicile et la naturalisation, on voit aussi que le nombre d'enfants entre le 4/9/1925 et le 26/3/1928 est passé de 11 à 10, car la petite Louise, née le 21/3/1925 est décédée entre temps
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