Ils envoient exactement la même lettre à ceux qui leur demandent de boycotter Israël !!!
Arrières grands-parents paternels Mariage1875Lask Pologne Mosek Jakub Goldsztajn/Golda Jaskula. Arrière-arrière grand-père Hénoch Lebowicz 1817/1878, marié 1839Faygi Milewski1819/1900 fils Icyk Ber Lejbowicz 1849/1904 marié Gitla Cymber fille Jochwet Lejbowicz 14/8/1885 Lodz/1890Samuel GOLDSTEIN fils Mon père:Isaac/IsakJacques /JackGoldstein14/07/1906Lodz Grand-père maternel Zelman Malakovsky?/Menakovski 7/09/1883 Volkoviez?.Grand-mère Bejla SCHWARTZ1886Wlodawa Lituanie
18 août, 2009
Plus de produits israéliens dans l'hypermarché CARREFOUR CHÂTEAUROUX - Quoi de neuf ?
Ils envoient exactement la même lettre à ceux qui leur demandent de boycotter Israël !!!
15 août, 2009
JewishVilkaviskis
http://www.jewishvilkaviskis.org/Sara%20Gaskel.html
La famille de mon grand-père maternel: Zelman Malakovski vient de Wolkowysk ou Vilkaviskis, plusieurs noms sont possible
Son père Moïse et sa mère Etka aussi
12 août, 2009
28 juillet, 2009
Plus de produits israéliens dans l'hypermarché CARREFOUR CHÂTEAUROUX
Comme d'habitude, j'avais l'intention d'acheter quelques produits israéliens.
Quelle ne fut ma stupeur de voir qu'il n'y avait plus un seul produit israélien dans le magasin.
Si vous voulez une explication, vous pouvez vous adresser par téléphone à ce magasin:02 54 60 33 33
Vous pouvez aussi vous adresser au journal local: La Nouvelle République du centre-ouest à Châteauroux:nr.chateauroux@nrco.fr
21 juillet, 2009
Ils Étaient Français
Michelle Goldstein, de Vendœuvres, revient sur le Roulataclès intitulé « Ne jamais oublier », paru ce vendredi. « Les policiers qui ont arrêté ma famille étaient français. Les gardiens qui les ont gardés à Drancy étaient français. Les trains et leurs conducteurs qui les ont emmenés à Auschwitz étaient français. »
05 juillet, 2009
Goldsztajn, cimetière de Lodz
220 Goldsztajn Abram I
221 Goldsztajn Ajzyk
222 Goldsztajn Chil Majer
223 Goldsztajn Hersz
224 Goldsztajn Jakub Szapsa
225 Goldsztajn Lajb
226 Goldsztajn Szmul
227 Goldsztajn Szulim
213 Goldsztajn Bajla
214 Goldsztajn Chaja
215 Goldsztajn Kajla
216 Goldsztajn Liba
217 Goldsztajn Nechuma
219 Goldsztajn Rywka
220 Goldsztajn Tauba
221 Goldsztajn Tauba
21 avril, 2009
Toute ma famille du côté de mon Grand-père ( Malakovski) maternel a été exterminée par balles
Vilkaviskis, Lituanie
À l'aube le 22 juin 1941, Vilkovishk est bombardé par la Luftwaffe ; le centre de la ville est ruiné, et la plupart des maisons juives dont la vieille synagogue est incendiée. C'était le commencement de l'invasion allemande de l'URSS. La plupart des juifs qui s'étaient sauvés de la ville bombardée retournée et serrée ensemble dans les maisons intactes restantes.
L'armée allemande entre dans Vilkovishk le premier jour de l'invasion ; les nationalistes lithuaniens commencent immédiatement leurs exactions contre les Juifs, pillent les maisons et guident les Allemands, intensifiant le pillage. Le 24 juin 1941, tous les hommes juifs sont convoqués place du marché, sont répartis en groupe de travail et doivent déblayer les ruines, rassembler les soldats russes tués et les enterrer, et remettre la ville en état. D’autres sont envoyés travailler dans les fermes nationalisées. Comme Vilkovishk est situé à moins de 25 kilomètres de la frontière allemande, le destin des Juifs est confié à la Gestapo de Tilsit, qui a ordre de nettoyer le secteur des Juifs et des communistes. Immédiatement, les Juifs sont opbligés de porter l’étoile de David.
Une nuit de début juillet, tous les hommes valides sont rassemblés par la police lituanienne aux ordres de la Gestapo, et emmenés hors de la ville dans le séminaire catholique où ils sont battus et maltraités ; 3 d’entre eux, qui tentent de fuir, sont tués. Au bout d’une semaine, ils sont transférés dans des baraques de l’armée hors de la ville, baraques ceintes de barbelés, et l’endroit est proclamé ghetto. Un « Judenrat » de 4 juifs est désigné, et le 27 juillet, le ghetto est cerné par des policiers lituaniens. Pour éviter la panique et empêcher les tentatives d’évasions, les gardes calment les Juifs en leur disant qu’il ne leur arriverait rien. Le commandant le la garde réquisitionne 250 hommes, les équipe de pelles, les mène sur le terrain d’entraînement et leur ordonne de creuser des tranchées devant servir à installer en terre des réservoirs d’huile. En soirée, les hommes sont renvoyés au ghetto. Le jour suivant, 28 juillet 1941, 800 hommes, y compris 65 communistes non-Juifs sont rasemblés dans la cour et obligés de se dévêtir. Amenés aux fosses, ils sont exécutés par balle et ensevelis. En ville, auprès des femmes, la rumeur est répandue que les hommes ont été transférés sur divers chantiers. Le commandant de la ville apaise les craintes, et recueille de l’argent et de objets de valeur pour sois-disant le faire parvenir aux hommes…
Le 1 août, toutes les femmes, les enfants et les personnes âgées sont rassemblés et transférés dans les baraques. Chaque personne a le droit d’emporter 25kg de bagages et 250 roubles. Immédiatement, et malgré que le terrain d’exercice ait été nivelé, les femmes découvrent les tranchées, au nombre de trois, dont l’une est vide. Les gardes les empêchent d’approcher. Le 24 septembre, selon le même rituel, les femmes et les enfants sont exécutés à leur tour. Bon nombre parvient à s’échapper, mais toutes seront rattrapées et abattues. Seules deux sœurs sont sauvées par une femme lituanienne qui les cache dans un petit village à 9km de Vilkaviskis.
Selon des données soviétiques officielles, 3.056 personnes ont été assassinées à Vilkovishk par les Allemands et leurs auxiliaires entre juin et septembre 1941.
28 mars, 2009
La charge de Jacques Chirac contre les négationnistes
Jacques Chirac a participé, vendredi à l'Unesco avec Simone Veil, au lancement du projet Aladin, initié par la Fondation de la mémoire de la Shoah. Crédit photo : François Bouchon / Le Figaro. Crédits photo : Le Figaro
L'ancien président de la République prône l'enseignement de la Shoah dans les pays arabes.
«Le drame de la Shoah interdit l'oubli. Il impose la pudeur. Il fait exploser la colère au cœur de chaque homme de bonne volonté, lorsque la Shoah est contestée.» Silencieux depuis plusieurs mois, Jacques Chirac a choisi de s'exprimer sur un thème qui avait déjà marqué sa présidence. Vendredi, à l'Unesco, l'ancien chef de l'État a apporté un soutien appuyé au projet Aladin initié par la Fondation de la mémoire de la Shoah. Un projet destiné à lutter contre le négationnisme, en particulier dans les pays arabes.
Jacques Chirac a insisté sur le fait qu'il ne s'agissait pas de vouloir « aire porter aux pays musulmans une culpabilité qui n'est pas la leur». Il a cependant souligné l'importance de «faire connaître la Shoah, pour la faire sortir du silence que l'on a fabriqué autour d'elle, dans beaucoup de pays». Pour lui, les raisons de ce silence sont simples : «Évoquer la Shoah risquait de susciter dans ces pays un sentiment de sympathie pour les Juifs et l'existence d'Israël. Alors, a-t-il dit, on l'a cachée.»
L'ancien président s'est inquiété du fait que «les conflits incessants du Proche-Orient servent aujourd'hui de prétexte à une nouvelle haine d'Israël. Elle est en train de devenir une nouvelle haine des Juifs ; cette haine se répand», a-t-il observé. Elle peut être le débutd'un nouveau cauchemar. Chirac insiste : «Il n'y aura pas de paix au Proche-Orient tant qu'il n'y aura pas de reconnaissance et acceptation de l'État d'Israël.» Et ajoute : «Mais il n'y aura pas reconnaissance mutuelle réelle sans assentiment des peuples (…) sans une compréhension plus intime.»
Celui qui avait reconnu la responsabilité de la France dans la déportation des Juifs de France, dans son discours du Vél'd'Hiv, en juillet 1995, estime que ce projet Aladin s'inscrit dans le cadre du combat qu'il mène à la tête de sa propre Fondation pour le dialogue entre les cultures. Ce projet, sur son site Internet, propose un contenu pédagogique en plusieurs langues, dont le turc, l'arabe ou le farsi, sur l'histoire de la Shoah et celle du judaïsme. Il est soutenu par plus de 200 personnalités arabo-musulmanes.
« Les falsifications de l'histoire »
Mais Jacques Chirac ne s'est pas seulement adressé à cette partie du monde, soulignant, dans son intervention, que «nul pays, nulle culture ne sont immunisées contre la tentation du génocide». Il a par ailleurs souligné, une nouvelle fois, que «nous ne devons jamais accepter comme démocratiques les partis qui propagent la haine». «L'accord trouvé entre libéraux, démocrates chrétiens, socialistes et communistes dans l'après-guerre pour rejeter les partis de la haine doit être considéré comme un acquis définitif de la démocratie européenne», a-t-il ajouté. Une allusion claire aux propos tenus par Jean-Marie Le Pen, mercredi, dans l'hémicycle du Parlement de Strasbourg. Le président du Front national avait réaffirmé qu'il considérait les chambres à gaz comme «un détail de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale».
Depuis son départ de l'Élysée, Jacques Chirac, en tête des personnalités politiques dans le baromètre Ifop/Paris Match, s'en tient à des interventions peu nombreuses et exclusivement consacrées aux grands enjeux mondiaux, comme son discours sur l'accès à l'eau au Proche-Orient.
De son côté, dans un message lu par la garde des Sceaux et maire du VIIe arrondissement de Paris, Rachida Dati, le président Sarkozy n'a pas évoqué Jean-Marie Le Pen mais fait allusion aux propos négationnistes tenus par l'évêque catholique intégriste Richard Williamson. Des déclarations qu'il a jugées «indignes, d'autant plus honteuses et condamnables, qu'elles émanent d'un homme de foi». Des déclarations qui rappellent aussi «l'urgence d'agir contre les falsifications de l'histoire».
«Toutes» les falsifications , a souligné Abdoulaye Wade, président du Sénégal et président de l'Organisation de la conférence islamique, pour qui le négationnisme ne doit pas occulter d'autres formes «d'oubli du passé ou de dénaturation des faits», relatifs, en particulier, à la colonisation.