Arrières grands-parents paternels Mariage1875Lask Pologne Mosek Jakub Goldsztajn/Golda Jaskula. Arrière-arrière grand-père Hénoch Lebowicz 1817/1878, marié 1839Faygi Milewski1819/1900 fils Icyk Ber Lejbowicz 1849/1904 marié Gitla Cymber fille Jochwet Lejbowicz 14/8/1885 Lodz/1890Samuel GOLDSTEIN fils Mon père:Isaac/IsakJacques /JackGoldstein14/07/1906Lodz Grand-père maternel Zelman Malakovsky?/Menakovski 7/09/1883 Volkoviez?.Grand-mère Bejla SCHWARTZ1886Wlodawa Lituanie
28 juillet, 2009
Plus de produits israéliens dans l'hypermarché CARREFOUR CHÂTEAUROUX
Comme d'habitude, j'avais l'intention d'acheter quelques produits israéliens.
Quelle ne fut ma stupeur de voir qu'il n'y avait plus un seul produit israélien dans le magasin.
Si vous voulez une explication, vous pouvez vous adresser par téléphone à ce magasin:02 54 60 33 33
Vous pouvez aussi vous adresser au journal local: La Nouvelle République du centre-ouest à Châteauroux:nr.chateauroux@nrco.fr
21 juillet, 2009
Ils Étaient Français
Michelle Goldstein, de Vendœuvres, revient sur le Roulataclès intitulé « Ne jamais oublier », paru ce vendredi. « Les policiers qui ont arrêté ma famille étaient français. Les gardiens qui les ont gardés à Drancy étaient français. Les trains et leurs conducteurs qui les ont emmenés à Auschwitz étaient français. »
05 juillet, 2009
Goldsztajn, cimetière de Lodz
220 Goldsztajn Abram I
221 Goldsztajn Ajzyk
222 Goldsztajn Chil Majer
223 Goldsztajn Hersz
224 Goldsztajn Jakub Szapsa
225 Goldsztajn Lajb
226 Goldsztajn Szmul
227 Goldsztajn Szulim
213 Goldsztajn Bajla
214 Goldsztajn Chaja
215 Goldsztajn Kajla
216 Goldsztajn Liba
217 Goldsztajn Nechuma
219 Goldsztajn Rywka
220 Goldsztajn Tauba
221 Goldsztajn Tauba
21 avril, 2009
Toute ma famille du côté de mon Grand-père ( Malakovski) maternel a été exterminée par balles
Vilkaviskis, Lituanie
À l'aube le 22 juin 1941, Vilkovishk est bombardé par la Luftwaffe ; le centre de la ville est ruiné, et la plupart des maisons juives dont la vieille synagogue est incendiée. C'était le commencement de l'invasion allemande de l'URSS. La plupart des juifs qui s'étaient sauvés de la ville bombardée retournée et serrée ensemble dans les maisons intactes restantes.
L'armée allemande entre dans Vilkovishk le premier jour de l'invasion ; les nationalistes lithuaniens commencent immédiatement leurs exactions contre les Juifs, pillent les maisons et guident les Allemands, intensifiant le pillage. Le 24 juin 1941, tous les hommes juifs sont convoqués place du marché, sont répartis en groupe de travail et doivent déblayer les ruines, rassembler les soldats russes tués et les enterrer, et remettre la ville en état. D’autres sont envoyés travailler dans les fermes nationalisées. Comme Vilkovishk est situé à moins de 25 kilomètres de la frontière allemande, le destin des Juifs est confié à la Gestapo de Tilsit, qui a ordre de nettoyer le secteur des Juifs et des communistes. Immédiatement, les Juifs sont opbligés de porter l’étoile de David.
Une nuit de début juillet, tous les hommes valides sont rassemblés par la police lituanienne aux ordres de la Gestapo, et emmenés hors de la ville dans le séminaire catholique où ils sont battus et maltraités ; 3 d’entre eux, qui tentent de fuir, sont tués. Au bout d’une semaine, ils sont transférés dans des baraques de l’armée hors de la ville, baraques ceintes de barbelés, et l’endroit est proclamé ghetto. Un « Judenrat » de 4 juifs est désigné, et le 27 juillet, le ghetto est cerné par des policiers lituaniens. Pour éviter la panique et empêcher les tentatives d’évasions, les gardes calment les Juifs en leur disant qu’il ne leur arriverait rien. Le commandant le la garde réquisitionne 250 hommes, les équipe de pelles, les mène sur le terrain d’entraînement et leur ordonne de creuser des tranchées devant servir à installer en terre des réservoirs d’huile. En soirée, les hommes sont renvoyés au ghetto. Le jour suivant, 28 juillet 1941, 800 hommes, y compris 65 communistes non-Juifs sont rasemblés dans la cour et obligés de se dévêtir. Amenés aux fosses, ils sont exécutés par balle et ensevelis. En ville, auprès des femmes, la rumeur est répandue que les hommes ont été transférés sur divers chantiers. Le commandant de la ville apaise les craintes, et recueille de l’argent et de objets de valeur pour sois-disant le faire parvenir aux hommes…
Le 1 août, toutes les femmes, les enfants et les personnes âgées sont rassemblés et transférés dans les baraques. Chaque personne a le droit d’emporter 25kg de bagages et 250 roubles. Immédiatement, et malgré que le terrain d’exercice ait été nivelé, les femmes découvrent les tranchées, au nombre de trois, dont l’une est vide. Les gardes les empêchent d’approcher. Le 24 septembre, selon le même rituel, les femmes et les enfants sont exécutés à leur tour. Bon nombre parvient à s’échapper, mais toutes seront rattrapées et abattues. Seules deux sœurs sont sauvées par une femme lituanienne qui les cache dans un petit village à 9km de Vilkaviskis.
Selon des données soviétiques officielles, 3.056 personnes ont été assassinées à Vilkovishk par les Allemands et leurs auxiliaires entre juin et septembre 1941.
28 mars, 2009
La charge de Jacques Chirac contre les négationnistes
Jacques Chirac a participé, vendredi à l'Unesco avec Simone Veil, au lancement du projet Aladin, initié par la Fondation de la mémoire de la Shoah. Crédit photo : François Bouchon / Le Figaro. Crédits photo : Le Figaro
L'ancien président de la République prône l'enseignement de la Shoah dans les pays arabes.
«Le drame de la Shoah interdit l'oubli. Il impose la pudeur. Il fait exploser la colère au cœur de chaque homme de bonne volonté, lorsque la Shoah est contestée.» Silencieux depuis plusieurs mois, Jacques Chirac a choisi de s'exprimer sur un thème qui avait déjà marqué sa présidence. Vendredi, à l'Unesco, l'ancien chef de l'État a apporté un soutien appuyé au projet Aladin initié par la Fondation de la mémoire de la Shoah. Un projet destiné à lutter contre le négationnisme, en particulier dans les pays arabes.
Jacques Chirac a insisté sur le fait qu'il ne s'agissait pas de vouloir « aire porter aux pays musulmans une culpabilité qui n'est pas la leur». Il a cependant souligné l'importance de «faire connaître la Shoah, pour la faire sortir du silence que l'on a fabriqué autour d'elle, dans beaucoup de pays». Pour lui, les raisons de ce silence sont simples : «Évoquer la Shoah risquait de susciter dans ces pays un sentiment de sympathie pour les Juifs et l'existence d'Israël. Alors, a-t-il dit, on l'a cachée.»
L'ancien président s'est inquiété du fait que «les conflits incessants du Proche-Orient servent aujourd'hui de prétexte à une nouvelle haine d'Israël. Elle est en train de devenir une nouvelle haine des Juifs ; cette haine se répand», a-t-il observé. Elle peut être le débutd'un nouveau cauchemar. Chirac insiste : «Il n'y aura pas de paix au Proche-Orient tant qu'il n'y aura pas de reconnaissance et acceptation de l'État d'Israël.» Et ajoute : «Mais il n'y aura pas reconnaissance mutuelle réelle sans assentiment des peuples (…) sans une compréhension plus intime.»
Celui qui avait reconnu la responsabilité de la France dans la déportation des Juifs de France, dans son discours du Vél'd'Hiv, en juillet 1995, estime que ce projet Aladin s'inscrit dans le cadre du combat qu'il mène à la tête de sa propre Fondation pour le dialogue entre les cultures. Ce projet, sur son site Internet, propose un contenu pédagogique en plusieurs langues, dont le turc, l'arabe ou le farsi, sur l'histoire de la Shoah et celle du judaïsme. Il est soutenu par plus de 200 personnalités arabo-musulmanes.
« Les falsifications de l'histoire »
Mais Jacques Chirac ne s'est pas seulement adressé à cette partie du monde, soulignant, dans son intervention, que «nul pays, nulle culture ne sont immunisées contre la tentation du génocide». Il a par ailleurs souligné, une nouvelle fois, que «nous ne devons jamais accepter comme démocratiques les partis qui propagent la haine». «L'accord trouvé entre libéraux, démocrates chrétiens, socialistes et communistes dans l'après-guerre pour rejeter les partis de la haine doit être considéré comme un acquis définitif de la démocratie européenne», a-t-il ajouté. Une allusion claire aux propos tenus par Jean-Marie Le Pen, mercredi, dans l'hémicycle du Parlement de Strasbourg. Le président du Front national avait réaffirmé qu'il considérait les chambres à gaz comme «un détail de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale».
Depuis son départ de l'Élysée, Jacques Chirac, en tête des personnalités politiques dans le baromètre Ifop/Paris Match, s'en tient à des interventions peu nombreuses et exclusivement consacrées aux grands enjeux mondiaux, comme son discours sur l'accès à l'eau au Proche-Orient.
De son côté, dans un message lu par la garde des Sceaux et maire du VIIe arrondissement de Paris, Rachida Dati, le président Sarkozy n'a pas évoqué Jean-Marie Le Pen mais fait allusion aux propos négationnistes tenus par l'évêque catholique intégriste Richard Williamson. Des déclarations qu'il a jugées «indignes, d'autant plus honteuses et condamnables, qu'elles émanent d'un homme de foi». Des déclarations qui rappellent aussi «l'urgence d'agir contre les falsifications de l'histoire».
«Toutes» les falsifications , a souligné Abdoulaye Wade, président du Sénégal et président de l'Organisation de la conférence islamique, pour qui le négationnisme ne doit pas occulter d'autres formes «d'oubli du passé ou de dénaturation des faits», relatifs, en particulier, à la colonisation.
18 mars, 2009
Oncle Joseph raconte Drancy et la guerre
23 février, 2009
Néo-nazis en France
Néo-nazis en France
11 février, 2009
Alain Goldstein au Casino de Paris
Alain Goldstein au casino de Paris
3 et 4 mars à 20h30
en 1ère partie de Michel Jonasz
Michel Jonasz invite Alain Goldstein au Casino de Paris les 3 & 4 mars
Écrit par Kamar Michelle | |
11-02-2009 | |
Ami de toujours et partenaire musical de Michel Jonasz, Alain Goldstein revient sur scène en première partie de celui dont il a été le premier compositeur. En première partie de Michel Jonasz les 3 et 4 mars 2009, Alain Goldstein interprètera 6 titres de son dernier album « Ainsi va la Vie » sorti en 2008 et « Mémoire » chanson incontournable de son précédent album . Ambiance intimiste, feutrée et réaliste pour cet artiste qui chante ses racines, ses rêves et ses passions avec une justesse bouleversante de sincérité. Alain Goldstein sera accompagné sur scène de Laurent Roubach à la guitare et de Jean-Philippe Audin au violoncelle. Dès l’adolescence démarre la fraternité musicale entre Michel Jonasz et Alain Goldstein. Ils créent ensemble le groupe « King Set », se produisent régulièrement sur toutes les scènes de l’ époque dont le mythique Golf Drouot… Alain compose pour Michel et signe la plupart de ses premiers titres. Une véritable fusion musicale naît alors puisque tous deux collaborent à la composition et à l’écriture pour de grands noms de la chanson française tels que Françoise Hardy, Gérard Lenorman, Glbert Montagné… Alain Goldstein réalise ses propres œuvres, quatre albums dont le dernier « ainsi va la vie… » .Auteur compositeur au talent reconnu, il a collaboré avec de nombreux grands artistes tels que : Henri Salvador, Michel Delpech, Daniel Lévi, Johnny Hallyday, et bien d’autres. www.alain-goldstein.com www.myspace.com/alaingoldstein Jonasz invite Goldstein ! RV au Casino de Paris les 3 & 4 mars Le 17 février au Théâtre de Val de Reuil (27) Le 13 février au Théâtre de Coulommiers (77) Contact Presse : Michelle Kamar Tél : 06 09 24 42 42 E-mail : michka75@noos.frCet e-mail est protégé contre les robots collecteurs de mails, votre navigateur doit accepter le Javascript pour le voir Contact Presse : Personne de contact pour les journalistes : Kamar Michelle Attachée de Presse michka75@noos.frCet e-mail est protégé contre les robots collecteurs de mails, votre navigateur doit accepter le Javascript pour le voir http:// Ce communiqué a été diffusé par et sur Categorynet.com (http://www.categorynet.com). Ce communiqué de presse porte la référence 73JYWNWH |
04 février, 2009
Les adresses de mon père Isaac GOLDSTEIN à Paris
Il avait 17 ans
Il a vécu d'abord avec ses parents et ses frères et sœurs:
À l'asile israélite : 16 rue Lamarcq: Paris 18è
Puis: 14 rue du figuier: Paris 4è
Puis: en 1925: à la fondation Halphen (HLM pour les juifs pauvres ahant une nombreuse famille): 10-12 rue des Deux-Ponts: Paris 4è
Lorsqu'il s'est marié: en 1929: 40 rue des amandiers, Paris 20è
Et pour terminer: 4 boulevard Ney: Paris 18è
17 janvier, 2009
Ma famille sur le mur des noms à YadVashem en Israël

Ma famille sur le mur des noms à YadVashem en Israël
J'ai envoyé 8 feuilles de témoignages pour des inscriptions des membres de ma famille proche gazés à Auschwitz
J'ai accusé réception aujourd'hui de cette lettre
À présent, leur mémoire sera préservée pour toujours sur le mur des noms à Yad Vashem en Israël
10 janvier, 2009
Que vient faire ce commentaire déplacé sur mon blog - Windows Live: sur la protection des animaux??
Désolé, votre billet ne peut pas être enregistré pour le moment. Réessayez plus tard. |
Que vient faire ce commentaire déplacé sur mon blogsur la protection des animaux?
Un chasseur confond tout
Je ne comprends pas ce que cela a à faire sur mon blog:
voir son commentaire:
http://berry-aspas.spaces.live.com/blog/cns!B16A79AF69A1A06C!12265.entry
Les chasseurs ne doivent plus tirer certains oiseaux
J'essaie de comprendre
Mais en vain....
Quel rapport avec ce blog?
Les caractères entrés pour la vérification de sécurité doivent correspondre à ceux de l'image ou du fichier audio.
Michelle Chagnon Goldsteina écrit : Toujours la même confusion mentale de ce chasseur Mais que viennent faire les Israéliens sur un blog sur la protection des animaux? Je ne comprends pas Si cet obsédé veut aller faire caca sur un blog qui parle des israéliens, libre à lui, mais pourquoi ici? Quel est le rapport? Il y a des milliers de blogs Pourquoi vient il faire ses besoins nauséabonds sur le mien? Il y a 1 minute | Supprime | |
HEURTIN Christophea écrit : Ce chasseur a écrit cela parce que certes, il est souhaitable de suspendre la chasse de certaines espèces pendant les périodes de grands froids, mais ce problème, même s'il vous obsède, est epsilon par rapport à d'autres sujets d'importance capitale, dont notamment le massacre actuel des palestiniens, les gens qui crèvent de froid dans les rues... A côté de la rubrique "les chasseurs sont des tueurs", vous pourriez par exemple créer une rubrique "les israéliens sont des tueurs" |
Rétroliens (0)
17 décembre, 2008
MA TANTE LOUISE GOLDSTEIN

L'acte de naissance de ma tante Louise Goldstein nous apprend beaucoup de choses
Elle est la seule des filles à n'avoir pas la fin de son prénom qui se termine par A
Malheureusement, elle est morte, enfant, de la coqueluche, comme c'est habituel dans notre famille
À ce sujet, j'ai fait un parallèle entre mon père et mon grand-père
Mon grand-père a eu 14 enfants
Mon père a eu 12 enfants
Tous les deux ont perdu une fille et un fils en bas âge de la coqueluche
Tous les deux ont perdu une fille adulte
: Mon grand-père: Tauba,(dite Thérèse) gazée à Auschwitz à l'âge de 24 ans
: Mon père: Denise: qui s'est suicidée à l'âge de 29ans
Sur l'acte de naissance, il est écrit: Golstein et mon père a signé comme témoin: Isak Goldstein
Il est dit aussi que ma grand-mère ici nommée: Hélène Lejbowicz(son vrai prénom étant Jochwet, elle se faisait appeler Héléna,) est née à Lodz (Pologne);
Louise est née au domicile de ses parents: 14, rue du Figuier, Paris 4è
C'est mon père: Isak Goldstein, 18ans, tailleur, qui l'a déclarée à la mairie du 4è
18 novembre, 2008
16 novembre, 2008
ÉLIE WIESEL a inauguré la maison d'enfants de l'O.S.E à Taverny qui porte son nom
Cliquez sur les photos pour les agrandir
ÉLIE WIESEL a inauguré la maison d'enfants de l'O.S.E à Taverny qui porte son nom
Lorsque j'étais enfant, je l'ai rencontré à Taverny, dans cette maison d'enfants.
J'avais lu ses 3 premiers livres
Je n'ai pas osé le lui dire
Près de chez moi Val d'Oise (95)
TAVERNY
Elie Wiesel a retrouvé sa « maison du bonheur »
Le Prix Nobel de la paix 1986, rescapé des camps de concentration, est revenu hier au château de Vaucelles, où il a séjourné après la guerre.
Arnaud Baur | 14.11.2008, 07h00
delicio.us
facebook
Digg.com
Wikio.fr
scoopeo.com
blogmarks.net
UN MOMENT chargé d’émotion et rempli d’histoire. Elie Wiesel, rescapé de la Shoah, Prix Nobel de la paix en
« C’est un symbole fort pour les enfants, commente Richard Josefsberg, le directeur
Elie Wiesel a été déporté à Auschwitz à l’âge de 15 ans, puis dans le camp de Buchenwald. Il y perdra notamment ses parents et sa sœur. A la Libération, à l’âge de 17 ans, il a été recueilli en France par l’OSE à Taverny, avant d’étudier à la Sorbonne, de devenir écrivain et, surtout, un défenseur inconditionnel de la liberté et de
« C
La maison d’enfants porte désormais le nom de l’écrivain
Tout était fait à l’époque pour que les enfants soient accueillis le mieux possible. Des consignes avaient été données afin que rien ne leur soit refusé. Anecdote pleine de force, le portail avait été enlevé, « pour qu’ils aient la sensation de totale liberté », a raconté dans son émouvant discours un des anciens camarades de l’écrivain.
Devant un parterre d’élus, d’anciens compagnons, de représentants religieux, d’enfants et d’anciens de l’OSE, Elie Wiesel, 80 ans, accompagné de sa femme, a ensuite prononcé un discours et rendu hommage à ce lieu et à ses éducateurs.
Une soirée de gala, en présence de nombreuses personnalités, a ensuite été donnée au pavillon Gabriel, en son honneur. L’occasion, également, de recueillir des fonds pour l’OSE et la création d’un centre médico-social dédié à l’enfance et à l’adolescence. « Faire en sorte que les enfants qui ont besoin d’une maison comme celle-là puissent l’avoir. »
Le Parisien
13 novembre, 2008
Soirée spéciale à l'Apollo sur le camp de Douadic
| ||||||||||||||||||
Nombre d'Indriens ont eu la chance de le croiser déjà, après la sortie du film qu'il a réalisé avec Jacques Merlaud : « La Nasse ». Philippe Barlet, sera l'invité de l'Apollo, vendredi, à partir de 20 h pour présenter ce document. « Film important dans l'histoire de l'Indre […] il était donc évident qu'il avait sa place à l'Apollo. Nous le diffusons dans le cadre du Mois du film documentaire », confie Agnès Rabaté, du ciné castelroussin. L'histoire est tristement célèbre dans le département : de 1942 à 1944, de nombreux juifs échouent dans le camp de Douadic dans l'Indre. Malgré les dévouements qui se manifestent alors à leur égard, Douadic marque souvent, pour ces fugitifs de l'Histoire, la première étape d'un long et inexorable voyage vers les camps d'extermination nazis. « Douadic a été une véritable nasse pour les juifs dont un grand nombre étaient venu se réfugier dans l'Indre pour échapper à la déportation… » « Un ensemble de sources iconographiques exceptionnelles – notamment le seul film à ce jour connu, tourné dans un camp français ayant servi à la mise en œuvre de la “ solution finale ” – sont à l'origine de la réalisation de ce film documentaire », ajoute Agnès Rabaté. La séance sera présentée par Philippe Barlet, en présence de témoins, suivie de « L'histoire des camps et de la déportation dans la Région Centre en 1940-1945 », conférence animée par Philippe Barlet et Jean-Louis Laubry. Vendredi 14 novembre, à 20 h, au cinéma Apollo de Châteauroux, « La Nasse, Histoire du camp de Douadic 1942-1945 », film documentaire français (2007). Durée : 1 h 30. Tarif unique : 2 €. |
10 novembre, 2008
Philippe Orfali : Il y a 70 ans, la Nuit de cristal |
Il y a 70 ans, la Nuit de cristal
M. Glaser montre l'une des dernières photos qu'il a de sa famille (il est debout, à gauche). Elle date de 1938. Toute sa famille, sauf lui, a trouvé la mort dans les camps de concentration nazis.
Photo: Robert Skinner, La Presse
Philippe Orfali |
Neuf novembre 1938. Willie Glaser, 17 ans, descend du train qui l'amène de Munich à la résidence de ses parents, à Fürth. Ce qu'il voit autour de lui le laisse sans mots. «Je savais exactement ce qui se passait. Malgré la fumée qui nous entourait, je pouvais voir que tous les lieux juifs de ma ville se faisaient incendier.»
Il y a 70 ans aujourd'hui, l'Allemagne se réveillait en cendres, au lendemain de l'une des plus sinistres nuits de son histoire. Un préambule à ce qui s'en venait pour la population juive d'Europe : quelque 300 synagogues furent saccagées, 7500 commerces juifs pillés et brûlés. Une centaine de Juifs furent assassinés et 30 000 hommes furent arrêtés cette nuit-là. La Kristallnacht - Nuit de cristal, nommée ainsi en référence au bruit des vitrines, des fenêtres et des vitraux cassés - fut l'un des points culminants des violences antisémites qui gagnèrent l'Allemagne après l'arrivée au pouvoir des nazis, en janvier 1933.Présenté par les nazis comme une réplique de la population à l'assassinat d'un diplomate du Reich à Paris par un jeune Juif, ces violences ont été orchestrées par le gouvernement nazi et commises par des groupes de soldats, de membres de la Jeunesse hitlérienne et de la Gestapo, notamment.
À Fürth, le maire avait ordonné aux pompiers de ne pas intervenir ce soir-là. «Dans notre quartier, on pouvait voir les ruines de quatre synagogues, des flammes léchant ce qu'il restait de ces lieux saints», relate M. Glaser, aujourd'hui âgé de 87 ans. Quelques personnes dans la foule riaient alors que ces synagogues centenaires s'envolaient en fumée. «Mais la majorité restait là, immobile et silencieuse. Moi, je me disais : «Mon Dieu, que se passe-t-il ?» Je sais maintenant que les gens avaient peur.»
De la «barbarie injustifiée»
«Ce n'était pas que le saccage de synagogues et d'entreprises juives. Il s'agissait d'actes de barbarie injustifiée», dit-il.
Avec le ton posé d'un homme qui a raconté son histoire maintes et maintes fois, Willie Glaser explique comment, avant la fin de la guerre, toute sa famille avait été décimée sauf lui. «Le 22 mars 1942, ma mère, mes deux soeurs et mon frère furent déportés en Pologne. Ils périrent à Belzec. Mon père, lui, fut déporté du camp de Drancy, près de Paris, vers Auschwitz. Il fut gazé dès son arrivée au camp, le 7 décembre 1943.»
M. Glaser a eu plus de chance. Son père, alors en France, avait réussi à lui obtenir un visa vers la Grande-Bretagne.
«Kristallnacht, c'était la genèse de tout ça. Le début de l'enfer qu'allaient subir les Juifs d'Europe pour les années à venir, le début de l'Holocauste, qui fit 6 millions de morts», souffle M. Glaser.
«Ce soir-là, nous ignorions complètement ce qui s'en venait pour nous. Évidemment, nous nous attendions à d'autres violences, car nous savions qu'Hitler détestait les Juifs, mais personne n'aurait pu prévoir les événements effroyables qui nous attendaient.»
Ce soir, à la commémoration de la Kristallnacht, au Centre commémoratif de l'Holocauste à Montréal, Willie Glaser prononcera le Kaddish, une prière souvent prononcée dans les cérémonies de deuil. «Nous sommes de moins en moins nombreux à avoir vécu ces horreurs, dit-il. Et plus nous vieillissons, plus il importe de parler de ces événements horribles.»
«Je le fais pour toute ma famille qui a péri dans l'Holocauste et pour tous ceux qui ont sacrifié leur vie lors de la Nuit de cristal.»
09 novembre, 2008
Pour eux, c’est toujours Treblinka
L’ouvrage de Charles Patterson Eternal Treblinka (2002) est enfin paru en français (Un Éternel Treblinka, Calmann-Lévy, 2008). L’historien américain traite d'une question extrêmement polémique : le rapport qu’entretient l'être humain avec les autres espèces vivantes, conscientes et sensibles. Comme l’a écrit Milan Kundera, c'est là la question morale fondamentale, si fondamentale que tout le reste en découle.
Pour ces créatures, tous les humains sont des nazis ; pour les animaux, c'est un éternel Treblinka. – Isaac Bashevis Singer (The Letter Writer)
Le rapprochement entre notre façon de traiter les animaux et la Shoah – un tabou que l’écrivain de langue yiddish et prix Nobel de littérature lui-même a été le premier à briser – n’a pas fini de faire hurler un certain nombre d’esprits rigides qui tiennent absolument à maintenir, au mépris des évidences scientifiques les plus criantes, une frontière bien nette entre l’espèce « des Seigneurs » (la leur) et l’ensemble des autres espèces animales, toujours considérées comme inférieures.
"À Auschwitz, nous étions comme des animaux", déclarait Simone Veil dans les années soixante-dix. En vertu de quelle logique cette comparaison entre les déportés et les animaux vaudrait-elle uniquement lorsqu’elle est formulée de gauche à droite ? Autrement dit, comment peut-on trouver naturel de comparer les camps de concentration aux abattoirs ou aux élevages en batterie, et scandaleux de comparer les derniers aux premiers ?
Patterson nous montre que la Shoah est historiquement et techniquement liée à l'industrialisation des élevages. Nous découvrons par exemple qu’Henry Ford, responsable d’une propagande antisémite sans précédent, avait conçu l’idée du travail à la chaîne après avoir visité un abattoir ; que les massacres de Katyn ont eu lieu pour partie dans des abattoirs ; et qu'Hitler avait confié la responsabilité de la "Solution finale" à un éleveur de poulets.
26 octobre, 2008
Histoire de ma cousine MINA BENDER pendant la SHOAH
LA SHOAH EN FRANCE

De profession Repasseur.
Habitait au 10, rue des Deux Ponts dans le 4ème arrondissement à PARIS. (France)
Dora BENDER né(e) le 29/07/1936 à PARIS14è Déporté(e) à Auschwitz par le convoi n° 77 au départ de Drancy le 31/07/1944: elle avait 8 ans
Est inscrit(e) sur le Mur des Noms en tant que Dora BENDER né(e) le 29/07/1936 à PARIS, Jean BENDER né(e) le 22/03/1940 à PARIS.14èEst inscrit(e) sur le Mur des Noms en tant que Jean BENDER né(e) le 22/03/1940 à PARIS, déporté(e) par le convoi n° 77 au départ de Drancy le 31/07/1944.: il avait4 ans
22 octobre, 2008
Ce chasseur est il antisémite?
Au sujet de cet article: http://berry-aspas.spaces.live.com/blog/cns!B16A79AF69A1A06C!10995.entry
Ce chasseur est un imbécile et un inculte
Il confond les juifs et les israéliens
Est-ce que je confonds les musulmans et les habitants de l'Arabie Saoudite?
Il ne connait manifestement rien aux problèmes de ce monde en général et au problèmes du moyen orient en particulier
Je ne vois pas le rapport entre les camps d'extermination et ce qui se passe entre les israéliens et les palestiniens.