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15 août, 2009

JewishVilkaviskis

JewishVilkaviskis

http://www.jewishvilkaviskis.org/Sara%20Gaskel.html

La famille de mon grand-père maternel: Zelman Malakovski vient de Wolkowysk ou Vilkaviskis, plusieurs noms sont possible
Son père Moïse et sa mère Etka aussi

21 avril, 2009

Toute ma famille du côté de mon Grand-père ( Malakovski) maternel a été exterminée par balles

Vilkaviskis, Lituanie

Les juifs vivent dans la ville lituanienne de Vilkaviskis (Vilkovishk), sur la frontière allemande, depuis le XIVè siècle. La communauté compte 4.417 Juifs en 1856 (834 chrétiens), 3.480 en 1897 (60% de la population totale), 3.206 en 1923 (44%) et 3.609 en 1939 (45%). La communauté de Vilkaviskis a une vie sociale et culturelle juive très active. Début 1939, la communauté juive accueille 300 juifs polonais expulsés de Suwalki par Hitler. Avec l'annexion de la Lithuanie par l'Union Soviétique en juin 1940, la vie religieuse, culturelle, politique et économique est sérieusement entravée par le système communiste. Cinq familles et deux célibataires sont été exilés en Sibérie.
À l'aube le 22 juin 1941, Vilkovishk est bombardé par la Luftwaffe ; le centre de la ville est ruiné, et la plupart des maisons juives dont la vieille synagogue est incendiée. C'était le commencement de l'invasion allemande de l'URSS. La plupart des juifs qui s'étaient sauvés de la ville bombardée retournée et serrée ensemble dans les maisons intactes restantes.
L'armée allemande entre dans Vilkovishk le premier jour de l'invasion ; les nationalistes lithuaniens commencent immédiatement leurs exactions contre les Juifs, pillent les maisons et guident les Allemands, intensifiant le pillage. Le 24 juin 1941, tous les hommes juifs sont convoqués place du marché, sont répartis en groupe de travail et doivent déblayer les ruines, rassembler les soldats russes tués et les enterrer, et remettre la ville en état. D’autres sont envoyés travailler dans les fermes nationalisées. Comme Vilkovishk est situé à moins de 25 kilomètres de la frontière allemande, le destin des Juifs est confié à la Gestapo de Tilsit, qui a ordre de nettoyer le secteur des Juifs et des communistes. Immédiatement, les Juifs sont opbligés de porter l’étoile de David.
Une nuit de début juillet, tous les hommes valides sont rassemblés par la police lituanienne aux ordres de la Gestapo, et emmenés hors de la ville dans le séminaire catholique où ils sont battus et maltraités ; 3 d’entre eux, qui tentent de fuir, sont tués. Au bout d’une semaine, ils sont transférés dans des baraques de l’armée hors de la ville, baraques ceintes de barbelés, et l’endroit est proclamé ghetto. Un « Judenrat » de 4 juifs est désigné, et le 27 juillet, le ghetto est cerné par des policiers lituaniens. Pour éviter la panique et empêcher les tentatives d’évasions, les gardes calment les Juifs en leur disant qu’il ne leur arriverait rien. Le commandant le la garde réquisitionne 250 hommes, les équipe de pelles, les mène sur le terrain d’entraînement et leur ordonne de creuser des tranchées devant servir à installer en terre des réservoirs d’huile. En soirée, les hommes sont renvoyés au ghetto. Le jour suivant, 28 juillet 1941, 800 hommes, y compris 65 communistes non-Juifs sont rasemblés dans la cour et obligés de se dévêtir. Amenés aux fosses, ils sont exécutés par balle et ensevelis. En ville, auprès des femmes, la rumeur est répandue que les hommes ont été transférés sur divers chantiers. Le commandant de la ville apaise les craintes, et recueille de l’argent et de objets de valeur pour sois-disant le faire parvenir aux hommes…
Le 1 août, toutes les femmes, les enfants et les personnes âgées sont rassemblés et transférés dans les baraques. Chaque personne a le droit d’emporter 25kg de bagages et 250 roubles. Immédiatement, et malgré que le terrain d’exercice ait été nivelé, les femmes découvrent les tranchées, au nombre de trois, dont l’une est vide. Les gardes les empêchent d’approcher. Le 24 septembre, selon le même rituel, les femmes et les enfants sont exécutés à leur tour. Bon nombre parvient à s’échapper, mais toutes seront rattrapées et abattues. Seules deux sœurs sont sauvées par une femme lituanienne qui les cache dans un petit village à 9km de Vilkaviskis.
Selon des données soviétiques officielles, 3.056 personnes ont été assassinées à Vilkovishk par les Allemands et leurs auxiliaires entre juin et septembre 1941.

28 juillet, 2007

LE DOSSIER DE NATURALISATION DE MES GRANDS-PARENTS MATERNELS

DOSSIER DE NATURALISATION DE MES GRANDS-PARENTS MATERNELS
Merci à tous ceux qui m'ont aidée
Cliquez sur l'image pour accéder au dossier de naturalisation





Naturalisation Menakovski? Malakovski?


On y apprend ceci:
Mairie du XIè
27 août 1914 : mariage de
Zelman Menakovski plutôt Malakovski : né à Wolkowysk (Russie) : le 7 septembre 1883
Ebéniste, Brocanteur
Fils de
Moïse Menakovski ou Makovsky (décédé)
Nationalité : Russe
Et de
Etka : veuve
Marchande de poissons
Domiciliée à Slonim (Russie)

Et de
Berthe Schwartz : née à Wlodowa (Russie) en 1886
Couturière
Fille de
Abraham Schwartz : né en 1864 à Wlodawa
Quincaillier
Et de
Rejza Viniski : née en 1872 à Wlodawa
Ménagère
Domiciliée à Iakoutsk (Sibérie)

Cela donne:
Mairie du XIè
27 août 1914 : mariage de
Zelman Menakovski ou Malakovski : né à Wolkowysk (Russie) : le 7 septembre 1883
Ebéniste, Brocanteur
Fils de
Moïse Menakovski ou Malakovski(décédé)
Nationalité : Russe
Et de
Etka : veuve
Marchande de poissons
Domiciliée à Slonim (Russie)

Et de
Berthe Schwartz : née à Wlodowa (Russie) en 1886
Couturière
Fille de
Abraham Schwartz : né en 1864 à Wlodowa
Quincaillier
Et de
  Rejza Viniski : née en 1872 à Wlodowa
Ménagère
Domiciliée à Iakoutsk (Sibérie)


Menakovski/Malakovski : L : ébéniste : né en 1867
« : Rosa : Marchande : née en 1877
« : Frida : couturière : née en 1880
Wolkowysk
Vilkaviskis (Wolkowysk) est une ville au sud ouest de la Lituanie. Selon la tradition, des Juifs vivent dans la localité au XIVème siècle et une synagogue est construite au début du XVIè. La communauté juive se développe réellement au XIXè siècle. Mais entre 1823 et 1862 la législation tsariste n’autorise aucun nouveau Juif à s’installer à Vilkaviskis, ville frontière avec l'Allemagne. Néanmoins, la communauté compte 4.417 membres en 1856 (contre 834 chrétiens), 3.480 en 1897 (60% de la population totale), 3.206 en 1923 (44%), et 3.609 en 1939 (45%). La majorité des Juifs sont commerçants et petits artisans. Quelques uns possèdent quelques terres aux abords de la ville. La communauté de Vilkaviskis mêne une vie sociale et culturelle active.
Vilkaviskis est occupée par la Wehrmacht le 22 juin 1941 au cours de violents combats. La plupart des maisons juives, y compris les synagogues, sont détruites. Le 28 juillet 1941, commence le massacre systématique des Juifs dans la Ville: 900 hommes sont assassinés et un ghetto est établi pour les Juifs restant, pour la plupart des femmes et des enfants, qui sont entassés dans des baraques près des fosses communes où les hommes viennent d’être exécutés. Le jour après Rosh hashanah, le 24 septembre 1941, les habitants du ghetto sont à leur tour exécutés.
Seuls quelques Juifs survivent à la guerre
SOURCE

Slonim
Slonim en Biélorussie : place centrale Ville de Biélorussie, dans la zone de Grodno, Slonim fait partie entre les deux guerres mondiales de la Pologne. En septembre 1939 la ville est occupée par l'armée rouge. La veille de l'invasion allemande de l’Union soviétique en juin 1941, 22.000 Juifs vivent à Slonim, dont un bon nombre sont des réfugiés de Pologne occidentale, alors sous occupation allemande.
Slonim en Biélorussie : la synagogueLes Allemands entrent à Slonim le 25 juin 1941. Lors d’une première «Aktion», le 14 juillet 1941, 1.255 Juifs sont exécutés à Petrolevits, à 7 kilomètres de Slonim. Parmi eux bon nombre d’intellectuels et des membres du Judenrat. Lors d’une seconde «Aktion», le 14 novembre, plus de 10.000 Juifs, y compris les membres du second Judenrat sont assassinés à Chepilovo. En décembre de la même année, un ghetto est érigé à Slonim, dans le quartier de Zhabinka. De janvier à mars 1942, des Juifs des villes voisines de Derechin, Kholinka, Byten, Ivatsevichi et Kossovo sont concentrés dans le ghetto de Slonim. En mai, 500 hommes sont déportés à Mogilev dans un camp de travail. Quelques Juifs s’échappent dans le ghetto de Bialystok car ils ont entendu que les conditions de vie y sont meilleures.
Slonim en Biélorussie : rue de la ville Au lendemain de l’»Aktion» de novembre 1941 un comité antifasciste est formé dans le ghetto de Slonim ; il regroupe les jeunes de diverses factions politiques et veut organiser la résistance. Certains qui travaillent dans des dépôts de munitions parviennent à voler des fusils, des pistolets et des caisses de grenades et de munitions. Deux tendances s’affrontent: se révolter au ghetto ou joindre la résisatnce extérieure et se battre avec les partisans. La seconde option l’emporte, et les Juifs «transfèrent» matériel et munitions à l’extérieur pour les remettre aux partisans. Ceux-ci promettent d’intensifier leur soutien, et certains Juifs du ghetto rejoignent leurs rangs.
Slonim en Biélorussie : le cimetière - mémorialLa liquidation du ghetto de Slonim débute le 29 juin juin 1942 et dure jusqu’au 15 juillet. Environ 10.000 Juifs sont assassinés à Petrolevits. De nombreux Juifs rejoignent les partisans dans la forêt, et les Juifs du ghetto de Slonim sont parmi les fondateurs de «Schorr 51», une unité partisane composée de Juifs qui aura à son actif de nombreux faits d’armes. Kremen, un des Juifs évadés dans la forêt, fournit de nombreuses armes à ses camarades restés dans le ghetto. Le 20 août 1942, les Allemands exécutent encore 400 Juifs de Slonim et en décembre tuent les derniers les Juifs restant dans la ville.
Les partisans de Slonim les partisans Juifs du ghetto de Slonim participent à la libération des Juifs de Kossovo le 2 octobre 1943. Au moins quatre cents Juifs de Slonim ont réussi à se sauver du ghetto et à combattre dans les forêts.
SOURCE

Wlodawa
Wlodawa : la synagogue aujourd’huiVille du du district de Lublin, Wlodawa voit arriver ses premiers Juifs dans la deuxième moitié du XVIè siècle. Une communauté est organisée au début XVIIè siècle. En 1648 les armées de Chmielnicki exterminent les Juifs de la région. Cependant, la communauté est reconstituée peu après et dans la seconde moitié du XVIIè siècle une synagogue baroque en pierre est construite. En 1765, 630 Juifs paient l'impôt local. La communauté se développe rapidement, compte 2.236 membres (74% de la population totale) en 1827 et 4.304 (72%) en 1857. Elle diminue cependant à la fin du siècle pour reprendre son expansion après 1921.
Lorsque l’armée allemande pénètre en ville mi septembre 1939, il y a 5.650 Juifs à Wlodawa. Rapidement ils sont soumis à des vexations et des persécutions. Cependant, aucun ghetto n'est établi au début, et jusqu'à la fin de 1941 la situation des Juifs de Wlodawa est légèrement plus facile que dans la majeure partie de la Pologne occupée.
Mais la situation se déteriore rapidement début 1942. En avril, environ 800 Juifs de Mielec (district de Cracovie) et environ 1.000 Juifs de Vienne sont expulsés à Wlodawa. Le 23 mai 1942 a lieu la première déportation au camp de la mort de Sobibor (le nombre exact des victimes n’est pas connu). En juin tous les enfants de moins de 10 ans sont déportés à Sobibor et assassinés. Le 24 octobre 1942 tout le reste de la population juive est envoyé à la mort à Sobibor.
Wlodawa : octobre 1942 : les Juifs cachés dans la forêt proche se rendent et sont enfermés dans un ghettoPendant ces déportations les centaines de Juifs s’échappent dans les forêts environnantes et s’organisent en unités partisanes, dont la pplus connue est l’unité commandée par Yehiel Grynspan qui fonctionne en lien avec les partisans soviétiques. La plupart des partisans Juifs tomberont, mais quelques uns réussissent à survivre jusqu'à la libération de la région de Wlodawa, et plusieurs autres parviennent à franchir le Bug et à rejoindre les partisans russes qui se battent en Polésie.
Vers la fin de l'automne de 1942 les Allemands ouvrent un ghetto spécial à Wlodawa pour tous les Juifs qui sortent volontairement de leurs cachettes des forêts de la province du nord-est de Lublin et auxquels la vie sauve est promise. Des centaines de Juifs se rendent, ne pouvant matériellement pas survivre, sans nourriture, sans rien, et l’hiver approchant. Faisant confiance à la parole des Allemands, ils entrent dans le nouveau ghetto de Wlodawa. Le 30 avril 1943 ils sont tous envoyés à Sobibor et assassinés.
Les Juifs de Wlodawa qui sont parvenus à survivre dans les unités partisanes quittent la Pologne juste après la guerre. La communauté juive de Wlodawa n'a pas été reconstituée.
SOURCE


Iakoutsk
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ЯкутскYakoutsk

Site Internet
Yakoutsk ou Iakoutsk (en russe, Якутск, en yakoute: Дьокуускай) (196.800 habitants lors du recensement de 2001), 62°2′N 129°44′E / 62.033, 129.733 est une ville de Sibérie Centrale. C'est la capitale de la République de Sakha (anciennement la République Socialiste Soviétique Autonome des Iakoutes), en Russie, et un grand port sur le fleuve Lena.
C'est aussi un centre autoroutier et possède des tanneries, des scieries et des usines de briques. Yakoutsk fut fondée en 1632, et était alors un fort cosaque, mais elle n'est devenue une ville que lorsque furent découvertes d'importantes réserves d'or et autres minéraux dans les années 1880 et 1890. Trois réserves furent développées activement lors de l'industrialisation sous Staline et la croissance rapide des camps de travail en Sibérie ont également favorisé le développement de Yakoutsk.
La ville possède une université fondée en 1956, une branche de l'Académie des sciences de Russie, et contient, entre autres, l' Institut de Recherche Cosmophysique, célèbre pour son installation de détection des rayons cosmiques, l'une des plus importantes du monde, ainsi que pour l'Institut de Recherche du Permafrost, développé dans le but de résoudre les problèmes coûteux associés à la construction de bâtiments sur des sols gelés.
Yakoutsk abrite également le théâtre Sakha et le Musée du Mammouth. On y trouve en outre les bureaux de nombreuses compagnies minières, dont ALROSA, dont les mines de diamant en Yakoutie extraient environ 20% de la production mondiale.
Le fleuve Lena traverse la ville, et en été, des bateaux relient la ville au Transsibérien. Des croisières très chères sont également offertes en aval par ce qui reste d'Intourist, et permettent de visiter des paysages spectaculaires dans des régions extrêmement reculées de l'Océan Arctique.
Yakoutsk est l'une des villes les plus froides du monde, avec des températures en janvier régulièrement inférieures à −40 °C. Les températures les plus froides jamais enregistrées en dehors de l'Antarctide l'ont été dans le bassin de la rivière Iana au nord-est de Yakoutsk, et plus particulièrement à Verkhoiansk (-67,8°C). En revanche, les températures en juillet dépassent souvent les 30°C, créant un record d'écart de températures. Yakoutsk est la plus grande ville construite sur du pergélisol continu. La plupart des maisons sont construites sur des piles de béton.

Liens externes [modifier]
photos de Yakoutsk
Site officiel de l'université d'État de Yakoutsk

SOURCE