11 février, 2009

Alain Goldstein au Casino de Paris




Alain Goldstein
Alain Goldstein au casino de Paris
3 et 4 mars à 20h30
en 1ère partie de Michel Jonasz

Michel Jonasz invite Alain Goldstein au Casino de Paris les 3 & 4 mars

Écrit par Kamar Michelle
11-02-2009
Ami de toujours et partenaire musical de Michel Jonasz, Alain Goldstein revient sur scène en première partie de celui dont il a été le premier compositeur.


En première partie de Michel Jonasz les 3 et 4 mars 2009, Alain Goldstein interprètera 6 titres de son dernier album « Ainsi va la Vie » sorti en 2008 et « Mémoire » chanson incontournable de son précédent album .
Ambiance intimiste, feutrée et réaliste pour cet artiste qui chante ses racines, ses rêves et ses passions avec une justesse bouleversante de sincérité.
Alain Goldstein sera accompagné sur scène de Laurent Roubach à la guitare et de Jean-Philippe Audin au violoncelle.

Dès l’adolescence démarre la fraternité musicale entre Michel Jonasz et Alain Goldstein. Ils créent ensemble le groupe « King Set », se produisent régulièrement sur toutes les scènes de l’ époque dont le mythique Golf Drouot…
Alain compose pour Michel et signe la plupart de ses premiers titres.
Une véritable fusion musicale naît alors puisque tous deux collaborent à la composition et à l’écriture pour de grands noms de la chanson française tels que Françoise Hardy, Gérard Lenorman, Glbert Montagné…

Alain Goldstein réalise ses propres œuvres, quatre albums dont le dernier « ainsi va la vie… » .Auteur compositeur au talent reconnu, il a collaboré avec de nombreux grands artistes tels que : Henri Salvador, Michel Delpech, Daniel Lévi, Johnny Hallyday, et bien d’autres.
www.alain-goldstein.com
www.myspace.com/alaingoldstein


Jonasz invite Goldstein !

RV au Casino de Paris les 3 & 4 mars
Le 17 février au Théâtre de Val de Reuil (27)
Le 13 février au Théâtre de Coulommiers (77)


Contact Presse : Michelle Kamar
Tél : 06 09 24 42 42
E-mail : michka75@noos.frCet e-mail est protégé contre les robots collecteurs de mails, votre navigateur doit accepter le Javascript pour le voir





Contact Presse :
Personne de contact pour les journalistes :
Kamar Michelle
Attachée de Presse


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http://


Ce communiqué a été diffusé par et sur Categorynet.com (http://www.categorynet.com).
Ce communiqué de presse porte la référence 73JYWNWH



http://www.myspace.com/alaingoldstein





04 février, 2009

Les adresses de mon père Isaac GOLDSTEIN à Paris

Mon père est arrivé en France, à Paris, en 1923
Il avait 17 ans
Il a vécu d'abord avec ses parents et ses frères et sœurs:
À l'asile israélite : 16 rue Lamarcq: Paris 18è
Puis: 14 rue du figuier: Paris 4è
Puis: en 1925: à la fondation Halphen (HLM pour les juifs pauvres ahant une nombreuse famille): 10-12 rue des Deux-Ponts: Paris 4è
Lorsqu'il s'est marié: en 1929: 40 rue des amandiers, Paris 20è
Et pour terminer: 4 boulevard Ney: Paris 18è

17 janvier, 2009

Ma famille sur le mur des noms à YadVashem en Israël

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Ma famille sur le mur des noms à YadVashem en Israël


J'ai envoyé 8 feuilles de témoignages pour des inscriptions des membres de ma famille proche gazés à Auschwitz
J'ai accusé réception aujourd'hui de cette lettre
À présent, leur mémoire sera préservée pour toujours sur le mur des noms à Yad Vashem en Israël

10 janvier, 2009

Que vient faire ce commentaire déplacé sur mon blog - Windows Live: sur la protection des animaux??



09/01/2009

Que vient faire ce commentaire déplacé sur mon blogsur la protection des animaux?

Un chasseur confond tout


Je ne comprends pas ce que cela a à faire sur mon blog:
voir son commentaire:
http://berry-aspas.spaces.live.com/blog/cns!B16A79AF69A1A06C!12265.entry


Les chasseurs ne doivent plus tirer certains oiseaux

Image de HEURTIN Christophe

Dommage qu'il ne fasse pas plus froid en palestine.

J'essaie de comprendre

Mais en vain....

Quel rapport avec ce blog?

Toujours la même confusion mentale de ce chasseur
Mais que viennent faire les Israéliens sur un blog sur la protection des animaux?
Je ne comprends pas
Si cet obsédé veut aller faire caca sur un blog qui parle des israéliens, libre à lui, mais pourquoi ici?
Quel est le rapport?
Il y a des milliers de blogs
Pourquoi vient il faire ses besoins nauséabonds sur le mien?
Il y a 1 minute | Supprime
HEURTIN Christophea écrit :
Ce chasseur a écrit cela parce que certes, il est souhaitable de suspendre la chasse de certaines espèces pendant les périodes de grands froids, mais ce problème, même s'il vous obsède, est epsilon par rapport à d'autres sujets d'importance capitale, dont notamment le massacre actuel des palestiniens, les gens qui crèvent de froid dans les rues...
A côté de la rubrique "les chasseurs sont des tueurs", vous pourriez par exemple créer une rubrique "les israéliens sont des tueurs"

Rétroliens (0)

L'URL de rétrolien de ce billet est :
http://berry-aspas.spaces.live.com/blog/cns!B16A79AF69A1A06C!12278.trak
Blogs Web qui font référence à ce billet

17 décembre, 2008

MA TANTE LOUISE GOLDSTEIN

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L'acte de naissance de ma tante Louise Goldstein nous apprend beaucoup de choses

Elle est la seule des filles à n'avoir pas la fin de son prénom qui se termine par A
Malheureusement, elle est morte, enfant, de la coqueluche, comme c'est habituel dans notre famille

À ce sujet, j'ai fait un parallèle entre mon père et mon grand-père
Mon grand-père a eu 14 enfants
Mon père a eu 12 enfants
Tous les deux ont perdu une fille et un fils en bas âge de la coqueluche
Tous les deux ont perdu une fille adulte
: Mon grand-père: Tauba,(dite Thérèse) gazée à Auschwitz à l'âge de 24 ans
: Mon père: Denise: qui s'est suicidée à l'âge de 29ans

Sur l'acte de naissance, il est écrit: Golstein et mon père a signé comme témoin: Isak Goldstein
Il est dit aussi que ma grand-mère ici nommée: Hélène Lejbowicz(son vrai prénom étant Jochwet, elle se faisait appeler Héléna,) est née à Lodz (Pologne);
Louise est née au domicile de ses parents: 14, rue du Figuier, Paris 4è
C'est mon père: Isak Goldstein, 18ans, tailleur, qui l'a déclarée à la mairie du 4è

18 novembre, 2008

16 novembre, 2008

ÉLIE WIESEL a inauguré la maison d'enfants de l'O.S.E à Taverny qui porte son nom


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ÉLIE WIESEL a inauguré la maison d'enfants de l'O.S.E à Taverny qui porte son nom

Lorsque j'étais enfant, je l'ai rencontré à Taverny, dans cette maison d'enfants.
J'avais lu ses 3 premiers livres
Je n'ai pas osé le lui dire

Près de chez moi Val d'Oise (95)

TAVERNY

Elie Wiesel a retrouvé sa « maison du bonheur »

Le Prix Nobel de la paix 1986, rescapé des camps de concentration, est revenu hier au château de Vaucelles, où il a séjourné après la guerre.

Arnaud Baur | 14.11.2008, 07h00

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UN MOMENT chargé d’émotion et rempli d’histoire. Elie Wiesel, rescapé de la Shoah, Prix Nobel de la paix en 1986, a dévoilé hier après-midi deux plaques apposées sur la maison d’enfants de l’OSE (Œuvre de secours aux enfants), au château de Vaucelles, à Taverny. Cette maison, qui l’a lui-même accueilli au sortir de la guerre, porte désormais son nom.


« C’est un symbole fort pour les enfants, commente Richard Josefsberg, le directeur
de la maison de Taverny. Cela leur rappellera toujours que, malgré les difficultés qu’ils rencontrent, rien ne peut les empêcher de continuer à vivre et à réussir. »

Elie Wiesel a été déporté à Auschwitz à l’âge de 15 ans, puis dans le camp de Buchenwald. Il y perdra notamment ses parents et sa sœur. A la Libération, à l’âge de 17 ans, il a été recueilli en France par l’OSE à Taverny, avant d’étudier à la Sorbonne, de devenir écrivain et, surtout, un défenseur inconditionnel de la liberté et de
la paix.

« C
’était la maison du bonheur, décrit-il aux enfants et éducateurs qui ont pu échanger avec lui avant la cérémonie, hier. On a proposé mon nom pour de nombreux édifices. A chaque fois, j’ai refusé. Mais ici, j’ai accepté. C’est une dette de reconnaissance à la France et à l’OSE. Quand j’écris, je pense et je parle encore de Taverny, là où j’ai commencé à apprendre votre langue. »

La maison d’enfants porte désormais le nom de l’écrivain


Tout était fait à l’époque pour que les enfants soient accueillis le mieux possible. Des consignes avaient été données afin que rien ne leur soit refusé. Anecdote pleine de force, le portail avait été enlevé, « pour qu’ils aient la sensation de totale liberté », a raconté dans son émouvant discours un des anciens camarades de l’écrivain.

Devant un parterre d’élus, d’anciens compagnons, de représentants religieux, d’enfants et d’anciens de l’OSE, Elie Wiesel, 80 ans, accompagné de sa femme, a ensuite prononcé un discours et rendu hommage à ce lieu et à ses éducateurs.

Une soirée de gala, en présence de nombreuses personnalités, a ensuite été donnée au pavillon Gabriel, en son honneur. L’occasion, également, de recueillir des fonds pour l’OSE et la création d’un centre médico-social dédié à l’enfance et à l’adolescence. « Faire en sorte que les enfants qui ont besoin d’une maison comme celle-là puissent l’avoir. »

Le Parisien

13 novembre, 2008

Soirée spéciale à l'Apollo sur le camp de Douadic

Soirée spéciale à l'Apollo sur le camp de Douadic
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DR
La projection du film sera assortie d’une conférence.




Nombre d'Indriens ont eu la chance de le croiser déjà, après la sortie du film qu'il a réalisé avec Jacques Merlaud : « La Nasse ». Philippe Barlet, sera l'invité de l'Apollo, vendredi, à partir de 20 h pour présenter ce document.
« Film important dans l'histoire de l'Indre […] il était donc évident qu'il avait sa place à l'Apollo. Nous le diffusons dans le cadre du Mois du film documentaire », confie Agnès Rabaté, du ciné castelroussin.
L'histoire est tristement célèbre dans le département : de 1942 à 1944, de nombreux juifs échouent dans le camp de Douadic dans l'Indre. Malgré les dévouements qui se manifestent alors à leur égard, Douadic marque souvent, pour ces fugitifs de l'Histoire, la première étape d'un long et inexorable voyage vers les camps d'extermination nazis. « Douadic a été une véritable nasse pour les juifs dont un grand nombre étaient venu se réfugier dans l'Indre pour échapper à la déportation… »
« Un ensemble de sources iconographiques exceptionnelles – notamment le seul film à ce jour connu, tourné dans un camp français ayant servi à la mise en œuvre de la “ solution finale ” – sont à l'origine de la réalisation de ce film documentaire », ajoute Agnès Rabaté.
La séance sera présentée par Philippe Barlet, en présence de témoins, suivie de « L'histoire des camps et de la déportation dans la Région Centre en 1940-1945 », conférence animée par Philippe Barlet et Jean-Louis Laubry.

Vendredi 14 novembre, à 20 h, au cinéma Apollo de Châteauroux, « La Nasse, Histoire du camp de Douadic 1942-1945 », film documentaire français (2007). Durée : 1 h 30. Tarif unique : 2 €.

10 novembre, 2008

Philippe Orfali : Il y a 70 ans, la Nuit de cristal |

Il y a 70 ans, la Nuit de cristal


Il y a 70 ans, la Nuit de cristal

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M. Glaser montre l'une des dernières photos qu'il a de sa famille (il est debout, à gauche). Elle date de 1938. Toute sa famille, sauf lui, a trouvé la mort dans les camps de concentration nazis.

Photo: Robert Skinner, La Presse

Philippe Orfali
La Presse

Neuf novembre 1938. Willie Glaser, 17 ans, descend du train qui l'amène de Munich à la résidence de ses parents, à Fürth. Ce qu'il voit autour de lui le laisse sans mots. «Je savais exactement ce qui se passait. Malgré la fumée qui nous entourait, je pouvais voir que tous les lieux juifs de ma ville se faisaient incendier.»

Il y a 70 ans aujourd'hui, l'Allemagne se réveillait en cendres, au lendemain de l'une des plus sinistres nuits de son histoire. Un préambule à ce qui s'en venait pour la population juive d'Europe : quelque 300 synagogues furent saccagées, 7500 commerces juifs pillés et brûlés. Une centaine de Juifs furent assassinés et 30 000 hommes furent arrêtés cette nuit-là. La Kristallnacht - Nuit de cristal, nommée ainsi en référence au bruit des vitrines, des fenêtres et des vitraux cassés - fut l'un des points culminants des violences antisémites qui gagnèrent l'Allemagne après l'arrivée au pouvoir des nazis, en janvier 1933.Présenté par les nazis comme une réplique de la population à l'assassinat d'un diplomate du Reich à Paris par un jeune Juif, ces violences ont été orchestrées par le gouvernement nazi et commises par des groupes de soldats, de membres de la Jeunesse hitlérienne et de la Gestapo, notamment.

À Fürth, le maire avait ordonné aux pompiers de ne pas intervenir ce soir-là. «Dans notre quartier, on pouvait voir les ruines de quatre synagogues, des flammes léchant ce qu'il restait de ces lieux saints», relate M. Glaser, aujourd'hui âgé de 87 ans. Quelques personnes dans la foule riaient alors que ces synagogues centenaires s'envolaient en fumée. «Mais la majorité restait là, immobile et silencieuse. Moi, je me disais : «Mon Dieu, que se passe-t-il ?» Je sais maintenant que les gens avaient peur.»

De la «barbarie injustifiée»

«Ce n'était pas que le saccage de synagogues et d'entreprises juives. Il s'agissait d'actes de barbarie injustifiée», dit-il.

Avec le ton posé d'un homme qui a raconté son histoire maintes et maintes fois, Willie Glaser explique comment, avant la fin de la guerre, toute sa famille avait été décimée sauf lui. «Le 22 mars 1942, ma mère, mes deux soeurs et mon frère furent déportés en Pologne. Ils périrent à Belzec. Mon père, lui, fut déporté du camp de Drancy, près de Paris, vers Auschwitz. Il fut gazé dès son arrivée au camp, le 7 décembre 1943.»

M. Glaser a eu plus de chance. Son père, alors en France, avait réussi à lui obtenir un visa vers la Grande-Bretagne.

«Kristallnacht, c'était la genèse de tout ça. Le début de l'enfer qu'allaient subir les Juifs d'Europe pour les années à venir, le début de l'Holocauste, qui fit 6 millions de morts», souffle M. Glaser.

«Ce soir-là, nous ignorions complètement ce qui s'en venait pour nous. Évidemment, nous nous attendions à d'autres violences, car nous savions qu'Hitler détestait les Juifs, mais personne n'aurait pu prévoir les événements effroyables qui nous attendaient.»

Ce soir, à la commémoration de la Kristallnacht, au Centre commémoratif de l'Holocauste à Montréal, Willie Glaser prononcera le Kaddish, une prière souvent prononcée dans les cérémonies de deuil. «Nous sommes de moins en moins nombreux à avoir vécu ces horreurs, dit-il. Et plus nous vieillissons, plus il importe de parler de ces événements horribles.»

«Je le fais pour toute ma famille qui a péri dans l'Holocauste et pour tous ceux qui ont sacrifié leur vie lors de la Nuit de cristal.»