Un web-documentaire qui montre dès sa présentation initiale une mixité bien réussie. Des familles juives qui échappent de la folie meurtrière de la 2e guerre mondiale pour arriver à un pays d'accueil où l'on montre ces nouveaux-arrivant qui ont décidé d'y rester car Hashem leurs avaient fourni tout ce dont ils avaient besoin. Des témoignages des aînés qui expriment avec fierté leur réussite économique et leur adaptation à la nouvelle culture. Ce dernier, par exemple, par le mariage avec des femmes natives dont ont voit le fruit porté, des enfants métisses.
Mais cette communauté, autrefois très florissante, est en train de disparaitre à cause du manque de jeunes pour prendre le relais. Une jeunesse qu'a quitté le pays pour se rendre surtout aux USA en quête d'un style de vie plus alaise tel celui des juifs de New York.
Pour "The Hidden Faith Project", la faute à l"assimilation, à l'inter-mariage, à la manque d'offre éducative local et à la manque de fonds suffisants pour soutenir un service religieux convenable. http://www.thehiddenfaithproject.blogspot.com
C'est bizarre de regarder certains des personnages du web-documentaire de l'INA s'exprimer avec désespoir, dans des vidéos de "The Hidden Faith Project" (http://www.youtube.com/watch?v=1lCrqIZSgeQ), sur le sort que les attendent s'il restent dans ce pays. Constat : pas d'emploi, isolement des natifs, peu de natalité chez eux. Solutions : expatrier les enfants vers le nord et organiser des rencontres des jeune-hommes célibataires avec des possibles candidates juives étrangères pour se marier.
Dès grand-parents fermiers aux parents professionnels libéraux qui ne rêvent que d'envoyer leurs enfants vivre l'américan dream. Échapper même du paradis quand il se transforme en belle prison.
Ce commentaire n'est pas une critique. Tout le contraire, c'est très encourageant de regarder une communauté qui se batte contre une histoire sans sens. Peu importe les motivations politiques cachées de Trujillo qui ont motivé son soutient à cette immigration en RD. C'est la survie des familles qui l'emporte.
Par ailleurs, cela me fait rappeler qu'il y a une semaine j'ai trouvé une chanson, "yedidi ha'chahahta" (Mon bien-aimé ou mon amant ou mon amie ... m'as-tu oublié ?), en enquêtant sur le rabbin David Bouzaglo. L'histoire des juifs qui ont quitté l'Espagne à cause des persécutions pour s'installer ailleurs dont le Maroc. Si j'ai bien compris, dans le "Bakkachot" ils chantent des supplications pleins d'amour adressés au Tout Puissant qui s'attachent à l'espérance d'arriver un jour à la terre promisse.
Alors, cette terre n'était pas la République Dominicaine et non plus le Maroc. Je ne crois non plus qu'elle soit les USA. Pour les sionistes elle est certainement la Palestine. Peut-être, c'est mon hypothèse, que le regard posé sur l'attente d'un future meilleur soit en soi-même le moteur pour continuer de l'avant malgré un présent parfois si conflictuel.
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Un web-documentaire qui montre dès sa présentation initiale une mixité bien réussie. Des familles juives qui échappent de la folie meurtrière de la 2e guerre mondiale pour arriver à un pays d'accueil où l'on montre ces nouveaux-arrivant qui ont décidé d'y rester car Hashem leurs avaient fourni tout ce dont ils avaient besoin. Des témoignages des aînés qui expriment avec fierté leur réussite économique et leur adaptation à la nouvelle culture. Ce dernier, par exemple, par le mariage avec des femmes natives dont ont voit le fruit porté, des enfants métisses.
Mais cette communauté, autrefois très florissante, est en train de disparaitre à cause du manque de jeunes pour prendre le relais. Une jeunesse qu'a quitté le pays pour se rendre surtout aux USA en quête d'un style de vie plus alaise tel celui des juifs de New York.
Pour "The Hidden Faith Project", la faute à l"assimilation, à l'inter-mariage, à la manque d'offre éducative local et à la manque de fonds suffisants pour soutenir un service religieux convenable. http://www.thehiddenfaithproject.blogspot.com
C'est bizarre de regarder certains des personnages du web-documentaire de l'INA s'exprimer avec désespoir, dans des vidéos de "The Hidden Faith Project" (http://www.youtube.com/watch?v=1lCrqIZSgeQ), sur le sort que les attendent s'il restent dans ce pays. Constat : pas d'emploi, isolement des natifs, peu de natalité chez eux. Solutions : expatrier les enfants vers le nord et organiser des rencontres des jeune-hommes célibataires avec des possibles candidates juives étrangères pour se marier.
Dès grand-parents fermiers aux parents professionnels libéraux qui ne rêvent que d'envoyer leurs enfants vivre l'américan dream. Échapper même du paradis quand il se transforme en belle prison.
Ce commentaire n'est pas une critique. Tout le contraire, c'est très encourageant de regarder une communauté qui se batte contre une histoire sans sens. Peu importe les motivations politiques cachées de Trujillo qui ont motivé son soutient à cette immigration en RD. C'est la survie des familles qui l'emporte.
Par ailleurs, cela me fait rappeler qu'il y a une semaine j'ai trouvé une chanson, "yedidi ha'chahahta" (Mon bien-aimé ou mon amant ou mon amie ... m'as-tu oublié ?), en enquêtant sur le rabbin David Bouzaglo. L'histoire des juifs qui ont quitté l'Espagne à cause des persécutions pour s'installer ailleurs dont le Maroc. Si j'ai bien compris, dans le "Bakkachot" ils chantent des supplications pleins d'amour adressés au Tout Puissant qui s'attachent à l'espérance d'arriver un jour à la terre promisse.
Alors, cette terre n'était pas la République Dominicaine et non plus le Maroc. Je ne crois non plus qu'elle soit les USA. Pour les sionistes elle est certainement la Palestine. Peut-être, c'est mon hypothèse, que le regard posé sur l'attente d'un future meilleur soit en soi-même le moteur pour continuer de l'avant malgré un présent parfois si conflictuel.
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